Contrôle réception d'un Le Mat, modèle "Cavalry", partie III
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Contrôle réception d'un Le Mat, modèle "Cavalry", partie III
Pour démonter la carcasse, il suffit de dévisser la vis centrale côté droit :
Il suffit ensuite de faire levier (sur les parties non visibles bien sûr) pour soulever le panneau latéral :
La mécanique interne est désormais visible : bloc chien et doigt élévateur. On remarque que le système d'accouplement du ressort principal et du chien est plus sophistiqué que sur les Colts :
En observant de plus près cette zone, on remarque tout de même des finitions assez approximatives (montage de l'axe du chien) :
Pour démonter le chien, il faut incliner celui-ci pour désaccoupler à la fois le doigt élévateur de son axe et le ressort principale de sa chape en demie-lune :
En observant le bloc chien, on constate que la chape en demie-lune est brute de fonderie, ce qui n'est pas gênant pour sa fonction, par contre la lame métallique en demi cercle est d'assez mauvaise facture : elle est piquée, tordue et mal finie. On croirait se trouver face à une pièce taillée à la main comme sur les répliques indiennes :
Le doigt élévateur est un élément fondamental sur ce type de revolver. La finition de celui du Le Mat est (malheureusement) dans la lignée de ceux observés sur les autres répliques de ce fabricant :
Nous démontons le nez amovible du chien (la partie qui vient frapper la cheminée du canon central). Son ressort lame est bien fini mais les surfaces de friction du nez sont assez grossières et les arêtes non cassées :
Il suffit ensuite de faire levier (sur les parties non visibles bien sûr) pour soulever le panneau latéral :
La mécanique interne est désormais visible : bloc chien et doigt élévateur. On remarque que le système d'accouplement du ressort principal et du chien est plus sophistiqué que sur les Colts :
En observant de plus près cette zone, on remarque tout de même des finitions assez approximatives (montage de l'axe du chien) :
Pour démonter le chien, il faut incliner celui-ci pour désaccoupler à la fois le doigt élévateur de son axe et le ressort principale de sa chape en demie-lune :
En observant le bloc chien, on constate que la chape en demie-lune est brute de fonderie, ce qui n'est pas gênant pour sa fonction, par contre la lame métallique en demi cercle est d'assez mauvaise facture : elle est piquée, tordue et mal finie. On croirait se trouver face à une pièce taillée à la main comme sur les répliques indiennes :
Le doigt élévateur est un élément fondamental sur ce type de revolver. La finition de celui du Le Mat est (malheureusement) dans la lignée de ceux observés sur les autres répliques de ce fabricant :
Nous démontons le nez amovible du chien (la partie qui vient frapper la cheminée du canon central). Son ressort lame est bien fini mais les surfaces de friction du nez sont assez grossières et les arêtes non cassées :
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Chewie- Sheriff
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