LES FRERES SISTERS

Questions de néophyte


On voit dans ce film que les gars ont des barillets de remplacement pour  les colts navy , est-ce bien courant sur des 1851 ?

Autre question , Colt devait donc fabriquait des barillets de complément  ,comment étaient-ils numérotés, n'y a-t-il pas un marquage spécial sur ces barillets ou reprennent-ils le numéro de l'arme?
Peut-être que c'est de la récupération sur  d'autres 1851 hs mais nous sommes justement en  1851 et  la production commençait à peine.

clifou a écrit:Questions de néophyte


On voit dans ce film que les gars ont des barillets de remplacement pour  les colts navy , est-ce bien courant sur des 1851 ?

Autre question , Colt devait donc fabriquait des barillets de complément  ,comment étaient-ils numérotés, n'y a-t-il pas un marquage spécial sur ces barillets ou reprennent-ils le numéro de l'arme?
Peut-être que c'est de la récupération sur  d'autres 1851 hs mais nous sommes justement en  1851 et  la production commençait à peine.

Je me suis posé la même les mêmes questions Clifou,
Les Frères Sisters devaient bien connaitre Samuel Colt en personne pour pouvoir posséder les tous premiers modèles de 51.
Quant aux barillets de rechange, j'espère qu'ils les avaient bien choisis pour l'interchangeabilité et qu'il n'avaient pas pris n'importe quel Pietta ou Uberti au hasard et de la à les transporter complètement chargés avec les amorces, c'est une autre histoire

Suis pas certain qu'on pratiquait le changement de barillet sur des 1851 dès le début.
Non pas que ce soit impossible mais, à cette époque, les revolvers "grand public" étaient encore nouveaux et les techniques de "combat" étaient encore assez nouvelles, du moins en dehors de l'armée.
Par contre, plus tard...
J'ai eu l'opportunité d'acheter un authentique Army 1860 avec 3 barillets et une crosse d'épaule, le tout dans un étui à violon. Clairement, le matériel d'un professionnel.
Bien que le prix était très raisonnable, je n'avais pas l'argent..... mais, ceci est une autre histoire !

Grand merci à tous ceux qui ont vu un colt sudiste (civil war) car depuis ce dimanche soir je me demandais si j'avais eu la berlue, ou si j'avais rêver, ou bien très fatigué, là je suis complètement rassuré. Merci et bonsoir.

curtiss a écrit:Grand merci à tous ceux qui ont vu un colt sudiste (civil war) car depuis ce dimanche soir je me demandais si j'avais eu la berlue, ou si j'avais rêver, ou bien très fatigué, là je suis complètement rassuré. Merci et bonsoir.

Col. Mortimer a écrit:Il y a un moment que je n’ai pas bien vu par inattention parce que j'attendais la fin (ou la chute de l'histoire) : au moment où le mec se suicide, la cartouche métallique qu'il lui donne est bien celle qui va dans l'arme ?

J'ai pas encore vu ce moment, je sais pas !

Je te dirais, je vais y faire attention..

j'ai decroché , car au bout d'un moment, on peut faire comme les chevaux :refuser l'obstacle, donc j'ai changé de programme.les livres, c'est pareil, on est pas obligé de finir
par contre sur OCS , j'ai regardé "keeping room", superbe.L'action se passe a la fin de la guerre de cessession
huit clos interessant

Bonjour Bouzou
Je l'ai vu hier soir et j'ai bien aimé.
Le film dégage une réelle atmosphère de tension (normal car l'action se situe pendant la guerre de Sécession).
Les femmes restées seules à la ferme utilisent des armes longues pour chasser et se défendre, on les voit charger leurs armes dans les moments critiques.
On voit aussi des scénes où les maraudeurs utilisent des Remington 1858 pour assiéger la ferme, mais ils ne feront pas le poids face à la détermination des femmes du Sud.

Pour en revenir aux frères Sisters...
Revu hier pour la 2e fois.
Finalement, j'ai mieux apprécié que la première, même si ce n'est pas un western inoubliable par son intrigue.
Côté armes, à partir du moment où on indique clairement 1851 (mai, si j'ai bien compris...), on peut se demander comment autant de Colt Navy 1851 peuvent déjà se retrouver en Oregon et en Californie (livraison par avion ?).
Des revolvers à carcasse laiton de la guerre de Sécession (1861-1865), des barillets à épaulement de l'Army 1860, un Sharps à bloc vertical (1859) : en résumé, quelques anachronismes mais, des revolvers à percussion plus corrects que des SAA.
Par contre, excellentes scènes de bataille, surtout de nuit et décors impressionnants : villes, saloons, cabanes, vie de l'époque (montage de la façade d'une maison, livraison de blocs de glace, ...) sans oublier les paysages.
Cela compense la relative faiblesse du scénario.
Finalement, j'ai bien aimé.