Bientôt à la maison...II

Toutes les "russes" de 1916, ne sont pas pourries.
Photos en 4032 X 2268 pour "ceuzes" qui aimes...




Essai de tir avec la baïonnette (pour stabiliser l'arme... et ça marche), des Lapua D166 .311" en 200 grains et 2,36 grammes de N150. (8, 8, puis 9 et 10, 10).

Pressigny a écrit:La voila avec sa baïonnette (le fourreau n'est pas sur la photo).

Magnifique

J'ai fini de faire une réplique complète de sa bretelle (sans l'attache rapide, qui est d'origine de l'arme, 1916.).

Et un kill pour la belle bretelle , moi j'ai pas la patience.

Dans sept ou huit ans, tu l'auras la patience, j'avais toujours envie de me refaire un petit atelier comme dans la maison de mon père, un établi avec un vrai gros étau, une perceuse à colonne, un chalumeau oxyacétylénique, un poste à arc avec de l'outillage, et c'est parti...

Tir mercredi, froid, pluie, obscurité, tous quoi !, en rouge huit 7,62 (.311", 150 grains) à 50 m, visée ouverte, y'en a deux qui se sont un peu baladées, en jaune trois 45-70 gov dans mon Sharps, en appui sur les coudes pour les deux, ils sont longs et lourds les bestiaux, 28" et 32", bonne surprise, comme quoi, le temps ne fait pas tout, avec une multitude de gommettes noires pour l'essai d'une Spencer 1860 en 44-40 wcf, au guidon beaucoup trop haut (à couper, comme sur une originale) et à la hausse très très primitive.

Oui, j'avais "la banane", le Sharps en premier, c'était juste pour le sortir, son groupement ne change pas, puis le Russe en deuxième, la hausse russe est quand même bien foutue, et permet de tirer dans une obscurité relative, les cartouches ne sont pas du tout les mêmes en vitesse (~800 m/s contre ~380 m/s), une fois tirées, je pouvais me réchauffer les mains sur le canon.