Les Anasazis constructeurs, entre autre, de Mesa Verde.
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Les Anasazis constructeurs, entre autre, de Mesa Verde.
Les Anasazis constructeurs, entre autre, de Mesa Verde.
Cette civilisation qui a disparu non pas progressivement mais soudainement, en laissant tout sur place, hypothèses et causes variées :
- Sécheresse soudaine.
- Guerres.
- Dissensions internes due à la pratique par une partie de la population d'un culte impie, peut être la pratique du cannibalisme...
Ce peule reste partiellement un mystère, voici des liens permettant de mieux connaitre le sujet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anasazis
Les Anasazis sont des Amérindiens du sud-ouest de l’Amérique du Nord qui étaient répartis en plusieurs groupes dans les États actuels du Colorado, de l’Utah, de l’Arizona et du Nouveau-Mexique. Leur civilisation, similaire à certaines autres cultures d'Oasisamérique comme les Hohokams et les Mogollon, a laissé de nombreux vestiges monumentaux et culturels sur plusieurs sites, dont deux sont classés sur la liste du patrimoine mondial établie par l'UNESCO. Ces vestiges témoignent d'une maîtrise de techniques de céramique, de tissage, d'irrigation, d'observations astronomiques et d'un système d'expression pictural1. Actuellement, les descendants des Anasazis, les Zuñis et les Hopis de l’Arizona et du Nouveau-Mexique, perpétuent certaines de leurs traditions.
La disparition soudaine de la civilisation des Anasazis
http://www.matierevolution.org/spip.php?article2321
par Robert Paris
Une émission très intéressante de la chaine "Planète", à voir absolument !
http://www.mystere-tv.com/josh-bernstein-et-les-mysteres-anasazis-v1518.html
Josh Bernstein et les mystères Anasazis
Ce documentaire de la chaîne Planète est un numéro de la série « A la recherche de la vérité » qui tente de trouver des réponses aux questions laissées par les Anasazis, un peuple amérindien du Sud de l'Amérique du Nord grâce aux investigations de l'anthropologue-aventurier Josh Bernstein.
Le nom « Anasazi » est en fait impropre, car il signifie en Navajo « ancien ennemi », le terme approprié serait donc le nom attribué par les Hopis qui sont probablement leurs descendants directs, « Hisatsinom », qui signifie quant à lui « hommes du passé ». Les Anasazis ne possédaient pas de système d'écriture, ni même de monnaie ce qui tend à les classer dans les peuples préhistoriques. Ils ont peuplé du 1er au 13ème siècle un vaste territoire qui englobe la zone autour du point géographique des « four corners », qui sépare quatre états des États-Unis : l'Utah, l'Arizona, le Colorado et le Nouveau Mexique. Cette région est composé de plateaux, les mesas, qui offraient une terre fertile pour la culture du maïs ou du coton et morcelée par des canyons où ont été retrouvées des habitations troglodytes (dans des grottes). Pour une raison mystérieuse, les Anasazis ont quitté les plaines pour se regrouper dans des villes protégées ou construites à flanc de falaises. Les habitations troglodytes ont été abandonnées une cinquantaine d'années plus tard.
C'est dans les habitations à flanc de colline de Mesa Verde que l'enquête de Joshn Berstein commence. Accompagné de la guide Lorissa Qumawunn, il explore une des pistes qui pourraient expliquer les migrations de masses des Anasazis. Celle ci soutient une thèse lié à des sécheresses et au manque d'eau. Malgré la présence d'une source au coeur même des habitations, Josh Bernstein mentionne une autre explication, liée quant à elle à des conflits armés sur fond de cannibalisme. I décide donc d'explorer d'autres sites similaires, en se demandant ce que pouvaient bien offrir ces falaises pour faire oublier le danger de vivre au bord du vide pour ces peuples. Josh Bernstein explore en compagnie de Vaughn Hadenfeldt, des habitations situées sur les parois d'un des canyons de la cedar mesa grâce à une descente en rappel. Pour l'alpiniste, le contrôle de l'eau fait sans doute partie de l'explication aux déménagements des Anasazis. Arrivés sur les lieux, Vaughn Hadenfeldt montre à son invité des pétroglyphes, en forme de spirales. La signification exacte de ces marques nous échappent encore, mais les Hopis y voient une représentation de leurs migrations. A l'extrémité de l'escarpement formant les grottes habitées, les ruines d'une construction est encore visible. Vaughn Hadenfeldt pense que les habitations troglodytes avaient un but essentiellement défensif, comme le montreraient des trous percés dans les murs, qui auraient servi de meurtrières.
Josh Bernstein rencontre ensuite un promoteur de la région de Mesa Verde, et qui se spécialise dans l'étude des ruines Anasazies, Archie Hansen. Archie Hansen a découvert sur ses propriétés des ruines antérieures à l'installation des Anasazis dans les habitations des falaises, livrant de précieuses informations sur cette époque et les raisons de leur départ. Le site le plus important, les ruines d'un ancien pueblo (terme qui peut désigner les habitations en pierres ou leurs occupants) qui fut occupé sans interruption durant 600 ans. Le pueblo se compose ici de kivas, pièces à demi enterrées reliées entre elles par des tunnels. La présence de nombreux restes humains font penser à Archie Hansen que les Anasazis sont partis sous la contrainte, dans des temps de conflits malgré leur image jusqu'alors pacifique. D'autre part, certains corps présentent des signes de cannibalisme, une théorie qui dérange beaucoup les descendants des indiens Hopis. Archie Hansen pense également que des luttes contre un ennemi extérieur a poussé les Anasazis à partir dans des habitations plus sûres, comme les habitations des falaises. La période de 950 à 1150 a surement été décisive dans ces déménagements risqués. La région était sous l'influence de la ville de Chaco Canyon, à l'extrême Sud du territoire Anasazi. Cette cité gigantesque est la plus grande réalisation construite des peuples amérindiens.Ce centre culturel et religieux a été abandonné vers 1150, pour une raison encore inconnue, probablement une sécheresse entraînant une baisse des ressources de la cité. Cette hypothèse sera vérifiée par Josh Bernstein, grâce à l'analyse du bois provenant d'une poutre d'une habitation encore debout. Cette analyse, la dendrochronologie consiste à observer les anneaux de croissance du bois, qui témoignent du taux d'humidité année par année. Grâce à de nombreuses études sur les anneaux de croissance des arbres de la région, les spécialistes de cette discipline ont établi un graphique des précipitations de cette période et celui ci indique bien une sécheresse importante. Ce facteur, mêlé aux conflits et à la probable surpopulation explique sans doute l'abandon du site.
Le site même de la ville offrant peu de ressources, les habitants avaient besoin des villages alentours pour leur fournir nourriture et matières premières. Ces échanges étaient maintenus grâce au pouvoir religieux exercé par Chaco sur les régions environnantes, et à la probable commercialisation d'objets dérivés de cette religion. Ce pouvoir étant par nature très fragile, il aurait fini par céder, éparpillant sa population. Le vide laissé par le pouvoir de Chaco aurait créé des troubles sociaux, qui auraient poussé les survivants vers des habitations protégées comme celles des falaises.
Josh Bernstein se rend ensuite dans le Sud de l'Utah pour observer des pétroglyphes (signes gravés dans la roche) en compagnie de trois indiens Hopis. Ces derniers préfèrent l'appellation Hisatsinom pour désigner leurs ancêtres, car il est rappelé que le nom Anasazi est d'origine Navajo, qui est une tribu rivale des Hopis et des Pueblos. Les amérindiens qui accompagnent Josh Bernstein interprètent certains signes, dont la spirale qui raconte selon eux l'histoire de la migration de leur peuple. Selon eux, l'abandon du site n'est du qu'aux conditions naturelles, et non à la violence. Wilton Kooyahoema, indien Hopi ne croit pas au cannibalisme de ses ancêtres, car il ne leur connaît pas d'ennemis à cette époque. Malgré ce récit, Josh Bernstein considère comme plus crédible la présence de violences, et s'il n'y a pas trace d'ennemi extérieur, c'est peut être parce que les Anasazis se faisaient la guerre entre eux. De plus, les Anasazis n'auraient pas disparu, mais plutôt émigré vers le Sud, pour fonder d'autres sociétés.
Ce document explore l'histoire d'un peuple méconnu, qui a fasciné l'archéologie grâce aux habitations au bord de falaises vertigineuses en suivant les acrobaties d'un anthropologue adepte de sensations fortes (Man Vs Wild est passé par là). Le mystère de l'abandon précipité de certains sites a été popularisé par la série X-files, qui l'utilise à plusieurs occasions (de mémoire fin de la saison 2 début saison 3 ainsi que début de la saison 7 et toute fin de la saison 9 puisque le dernier épisode se déroule dans une des habitations troglodytes). De telles habitations avaient sans doute un but défensif, comme le beau Josh Bernstein nous l'a si bien montré. Le besoin de défense amenant la question d'une agression et l'absence d'ennemi extérieur pointent donc du doigt les Anasazis eux mêmes, mettant ainsi à mal l'image de l'anasazi pacifique véhiculée par leurs descendants présumés. Ici apparaît un écueil évident de l'histoire basée sur l'oralité : la subjectivité, l'idée d'ancêtres cannibales ou même violents étant facilement oubliée dans des temps où ces pratiques sont considérées comme barbares. Gardons nous de tels jugements, car le contrôle de l'eau (hypothèse suggérée dans le reportage) entraîne encore de nos jours des conflits non moins regrettables...
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Cette civilisation qui a disparu non pas progressivement mais soudainement, en laissant tout sur place, hypothèses et causes variées :
- Sécheresse soudaine.
- Guerres.
- Dissensions internes due à la pratique par une partie de la population d'un culte impie, peut être la pratique du cannibalisme...
Ce peule reste partiellement un mystère, voici des liens permettant de mieux connaitre le sujet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anasazis
Les Anasazis sont des Amérindiens du sud-ouest de l’Amérique du Nord qui étaient répartis en plusieurs groupes dans les États actuels du Colorado, de l’Utah, de l’Arizona et du Nouveau-Mexique. Leur civilisation, similaire à certaines autres cultures d'Oasisamérique comme les Hohokams et les Mogollon, a laissé de nombreux vestiges monumentaux et culturels sur plusieurs sites, dont deux sont classés sur la liste du patrimoine mondial établie par l'UNESCO. Ces vestiges témoignent d'une maîtrise de techniques de céramique, de tissage, d'irrigation, d'observations astronomiques et d'un système d'expression pictural1. Actuellement, les descendants des Anasazis, les Zuñis et les Hopis de l’Arizona et du Nouveau-Mexique, perpétuent certaines de leurs traditions.
La disparition soudaine de la civilisation des Anasazis
http://www.matierevolution.org/spip.php?article2321
par Robert Paris
Une émission très intéressante de la chaine "Planète", à voir absolument !
http://www.mystere-tv.com/josh-bernstein-et-les-mysteres-anasazis-v1518.html
Josh Bernstein et les mystères Anasazis
Ce documentaire de la chaîne Planète est un numéro de la série « A la recherche de la vérité » qui tente de trouver des réponses aux questions laissées par les Anasazis, un peuple amérindien du Sud de l'Amérique du Nord grâce aux investigations de l'anthropologue-aventurier Josh Bernstein.
Le nom « Anasazi » est en fait impropre, car il signifie en Navajo « ancien ennemi », le terme approprié serait donc le nom attribué par les Hopis qui sont probablement leurs descendants directs, « Hisatsinom », qui signifie quant à lui « hommes du passé ». Les Anasazis ne possédaient pas de système d'écriture, ni même de monnaie ce qui tend à les classer dans les peuples préhistoriques. Ils ont peuplé du 1er au 13ème siècle un vaste territoire qui englobe la zone autour du point géographique des « four corners », qui sépare quatre états des États-Unis : l'Utah, l'Arizona, le Colorado et le Nouveau Mexique. Cette région est composé de plateaux, les mesas, qui offraient une terre fertile pour la culture du maïs ou du coton et morcelée par des canyons où ont été retrouvées des habitations troglodytes (dans des grottes). Pour une raison mystérieuse, les Anasazis ont quitté les plaines pour se regrouper dans des villes protégées ou construites à flanc de falaises. Les habitations troglodytes ont été abandonnées une cinquantaine d'années plus tard.
C'est dans les habitations à flanc de colline de Mesa Verde que l'enquête de Joshn Berstein commence. Accompagné de la guide Lorissa Qumawunn, il explore une des pistes qui pourraient expliquer les migrations de masses des Anasazis. Celle ci soutient une thèse lié à des sécheresses et au manque d'eau. Malgré la présence d'une source au coeur même des habitations, Josh Bernstein mentionne une autre explication, liée quant à elle à des conflits armés sur fond de cannibalisme. I décide donc d'explorer d'autres sites similaires, en se demandant ce que pouvaient bien offrir ces falaises pour faire oublier le danger de vivre au bord du vide pour ces peuples. Josh Bernstein explore en compagnie de Vaughn Hadenfeldt, des habitations situées sur les parois d'un des canyons de la cedar mesa grâce à une descente en rappel. Pour l'alpiniste, le contrôle de l'eau fait sans doute partie de l'explication aux déménagements des Anasazis. Arrivés sur les lieux, Vaughn Hadenfeldt montre à son invité des pétroglyphes, en forme de spirales. La signification exacte de ces marques nous échappent encore, mais les Hopis y voient une représentation de leurs migrations. A l'extrémité de l'escarpement formant les grottes habitées, les ruines d'une construction est encore visible. Vaughn Hadenfeldt pense que les habitations troglodytes avaient un but essentiellement défensif, comme le montreraient des trous percés dans les murs, qui auraient servi de meurtrières.
Josh Bernstein rencontre ensuite un promoteur de la région de Mesa Verde, et qui se spécialise dans l'étude des ruines Anasazies, Archie Hansen. Archie Hansen a découvert sur ses propriétés des ruines antérieures à l'installation des Anasazis dans les habitations des falaises, livrant de précieuses informations sur cette époque et les raisons de leur départ. Le site le plus important, les ruines d'un ancien pueblo (terme qui peut désigner les habitations en pierres ou leurs occupants) qui fut occupé sans interruption durant 600 ans. Le pueblo se compose ici de kivas, pièces à demi enterrées reliées entre elles par des tunnels. La présence de nombreux restes humains font penser à Archie Hansen que les Anasazis sont partis sous la contrainte, dans des temps de conflits malgré leur image jusqu'alors pacifique. D'autre part, certains corps présentent des signes de cannibalisme, une théorie qui dérange beaucoup les descendants des indiens Hopis. Archie Hansen pense également que des luttes contre un ennemi extérieur a poussé les Anasazis à partir dans des habitations plus sûres, comme les habitations des falaises. La période de 950 à 1150 a surement été décisive dans ces déménagements risqués. La région était sous l'influence de la ville de Chaco Canyon, à l'extrême Sud du territoire Anasazi. Cette cité gigantesque est la plus grande réalisation construite des peuples amérindiens.Ce centre culturel et religieux a été abandonné vers 1150, pour une raison encore inconnue, probablement une sécheresse entraînant une baisse des ressources de la cité. Cette hypothèse sera vérifiée par Josh Bernstein, grâce à l'analyse du bois provenant d'une poutre d'une habitation encore debout. Cette analyse, la dendrochronologie consiste à observer les anneaux de croissance du bois, qui témoignent du taux d'humidité année par année. Grâce à de nombreuses études sur les anneaux de croissance des arbres de la région, les spécialistes de cette discipline ont établi un graphique des précipitations de cette période et celui ci indique bien une sécheresse importante. Ce facteur, mêlé aux conflits et à la probable surpopulation explique sans doute l'abandon du site.
Le site même de la ville offrant peu de ressources, les habitants avaient besoin des villages alentours pour leur fournir nourriture et matières premières. Ces échanges étaient maintenus grâce au pouvoir religieux exercé par Chaco sur les régions environnantes, et à la probable commercialisation d'objets dérivés de cette religion. Ce pouvoir étant par nature très fragile, il aurait fini par céder, éparpillant sa population. Le vide laissé par le pouvoir de Chaco aurait créé des troubles sociaux, qui auraient poussé les survivants vers des habitations protégées comme celles des falaises.
Josh Bernstein se rend ensuite dans le Sud de l'Utah pour observer des pétroglyphes (signes gravés dans la roche) en compagnie de trois indiens Hopis. Ces derniers préfèrent l'appellation Hisatsinom pour désigner leurs ancêtres, car il est rappelé que le nom Anasazi est d'origine Navajo, qui est une tribu rivale des Hopis et des Pueblos. Les amérindiens qui accompagnent Josh Bernstein interprètent certains signes, dont la spirale qui raconte selon eux l'histoire de la migration de leur peuple. Selon eux, l'abandon du site n'est du qu'aux conditions naturelles, et non à la violence. Wilton Kooyahoema, indien Hopi ne croit pas au cannibalisme de ses ancêtres, car il ne leur connaît pas d'ennemis à cette époque. Malgré ce récit, Josh Bernstein considère comme plus crédible la présence de violences, et s'il n'y a pas trace d'ennemi extérieur, c'est peut être parce que les Anasazis se faisaient la guerre entre eux. De plus, les Anasazis n'auraient pas disparu, mais plutôt émigré vers le Sud, pour fonder d'autres sociétés.
Ce document explore l'histoire d'un peuple méconnu, qui a fasciné l'archéologie grâce aux habitations au bord de falaises vertigineuses en suivant les acrobaties d'un anthropologue adepte de sensations fortes (Man Vs Wild est passé par là). Le mystère de l'abandon précipité de certains sites a été popularisé par la série X-files, qui l'utilise à plusieurs occasions (de mémoire fin de la saison 2 début saison 3 ainsi que début de la saison 7 et toute fin de la saison 9 puisque le dernier épisode se déroule dans une des habitations troglodytes). De telles habitations avaient sans doute un but défensif, comme le beau Josh Bernstein nous l'a si bien montré. Le besoin de défense amenant la question d'une agression et l'absence d'ennemi extérieur pointent donc du doigt les Anasazis eux mêmes, mettant ainsi à mal l'image de l'anasazi pacifique véhiculée par leurs descendants présumés. Ici apparaît un écueil évident de l'histoire basée sur l'oralité : la subjectivité, l'idée d'ancêtres cannibales ou même violents étant facilement oubliée dans des temps où ces pratiques sont considérées comme barbares. Gardons nous de tels jugements, car le contrôle de l'eau (hypothèse suggérée dans le reportage) entraîne encore de nos jours des conflits non moins regrettables...
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Dernière édition par Général Lawrence Sisco le Lun 16 Déc 2013 - 16:47, édité 1 fois
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Re: Les Anasazis constructeurs, entre autre, de Mesa Verde.
Je pense qu'on n'a peu de chance de savoir le fin mot de l'histoire car ils ne connaissaient pas l'écriture.
Comme le dit une des études : peuple préhistorique ou peuple civilisé ?
- Peuple civilisé c'est certain, il suffi de voir les grandes cités qu'ils ont bâti.
- Peuple préhistorique, c'est vrai également car ce qui fait la jonction entre la préhistoire et l'histoire c'est l'invention de l'écriture. De plus ils étaient toujours à l'age de pierre.
C'est une des rares civilisations que l'on peut qualifier à la fois de préhistorique et de hautement civilisée...
Comme le dit une des études : peuple préhistorique ou peuple civilisé ?
- Peuple civilisé c'est certain, il suffi de voir les grandes cités qu'ils ont bâti.
- Peuple préhistorique, c'est vrai également car ce qui fait la jonction entre la préhistoire et l'histoire c'est l'invention de l'écriture. De plus ils étaient toujours à l'age de pierre.
C'est une des rares civilisations que l'on peut qualifier à la fois de préhistorique et de hautement civilisée...
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Re: Les Anasazis constructeurs, entre autre, de Mesa Verde.
+1 et merci pour la (pré)histoire intéressante de ce peuple disparu !
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