Wild Bill Hickok

Wild Bill Hickok
1837-1876

Wild Bill Hickok est né le 27 mai 1837, dans une petite ville de Troy Grove, Illinois State, le quatrième parmi les six enfants. Son nom original était James Butler Hickok, et plus tard dans sa vie lui coller au "Wild Bill" surnom, comme un flingueur expérimenté et impitoyable. Son père, William Alonzo Hickok était une de ces personnes qui prenaient déjà leur engagement en faveur de l'abolition de l'esclavage. James a grandi dans cet esprit, et a ensuite rejoint son père, pour évacuer les esclaves fugitifs sur des chars à une nouvelle vie en toute liberté. Jusqu'en 1855, à l'âge de 18 ans, il a travaillé sur la ferme de son père.

Quand il avait dix-neuf, il se mit à l '«Armée Etat libre» à la frontière du Kansas et du Missouri et a combattu dans la guerre civile sous le général Custer en tant que civil. Comme un scout, il a souvent été proche de la mort. À la fin de la guerre, le projet de loi était bien connu pour son courage, de loyauté et d'armes compétences. Il n'y avait rien il était craint d', et il a cherché danger par imprudence.

Après la guerre, il a construit une ferme bungalow cent soixante acres, ce qui a été détruit par les tenants esclavage. Hickok se brouilla avec les agriculteurs et les commerçants parfois, ce tirage rapide. En conséquence, il a tué pour la première fois. Il a été arrêté en raison de tuer McCanles David, mais a avoué l'auto-défense, de sorte qu'il a été libéré.
​​En 1861, il se trouve à Hays (Kansas) en tant que représentant de la loi. Sa réputation croître plus quand il a attrapé bande criminelle seul. Il était un bandit impitoyable, qui était la raison de son surnom: "Wild Bill". De là, il a été nommé shérif du comté en 1869. Wild Bill Hickok est devenu célèbre pour son habileté, donc beaucoup de tireur vaolunteer voulait tester sa vitesse. Malheureusement, certains d'entre eux n'ont pas survécu à l'aventure. En 1871, Wild Bill Hickok était juge de police à Abilene. Son salaire mensuel est d'environ 150 $, ce qui est un résultat majeur.

Avec Wild Bill Hickok est difficile de séparer les faits de la fiction des histoires racontées à son sujet. Bien sûr, il fait bien son travail dans le Kansas Hayes. Le côté négatif de son travail est que beaucoup de gens ont été tués, y compris trois cavaliers de la cavalerie septième. Cet événement a causé un contraste avec le général Sheridan, alors qu'il a abandonné son poste. Il voulait devenir maréchal de Abilene (cette ville était plus sauvage que Hayes). Hickok est allé partout lourdement armé avec deux revolvers Colt Navy 1851 (à la fin de chaque journée, il a tiré et les rempli, afin d'éviter toute éventuelle entrave technique), un fusil à canon scié et un Derringerrel dans ses sous-vêtements.



Il avait un assistant à Abilene, mais un projet de loi nuit sauvage lui a tiré dessus accidentellement (les documents contemporains qu'il a déjà eu la cataracte dans l'œil). Il a été tellement bouleversé à ce sujet et a abandonné son travail, il a quitté Abilene et il ne portait jamais de badges après. Complètement se détourner de la vie antérieure de Wild Bill Hickok, il a essayé de rejoindre le Buffalo Bill Cody Wild West Show en 1872, puis en 1873, a fait équipe avec Calamity Jane et Deadwood de John Wesley Hardin au Dakota.

Un peu plus tard, l'entreprise a licencié parce qu'il a bu trop souvent. Enfin, il s'installe à Cheyenne, dans le Wyoming, où le jeu est devenu son gagne-pain. Il s'est marié en 1876 Agnes Lake au 5 Mars. Après deux semaines, et il est allé de l'Ouest à la recherche de l'or. Il n'a jamais vu sa femme. La dernière étape de sa tournée était Deadwood City dans le Dakota du Sud, quand il a cherché l'or, de jouer et boire.

Il a joué au poker sur 1876ème Août 2 dans le Saloon Nuttall & Mann, dans Deadwoodban. Malheureusement, il s'assit dos à la porte. Cela s'est avéré être une erreur fatale: le rôle de Jack McCall entra dans le salon, et le projet de loi tir avec son pistolet à deux coups Derringer. Jack a été arrêté, mais plus tard il a acquitté de l'accusation.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Jack McCall a été de nouveau arrêté pour le meurtre de Wild Bill Hickok dans un bar. Il y avait une nouvelle négociation. Peu a été reconnu coupable et pendu pour meurtre de Wild Bill Hickok.

Wild Bill Hickok avec ses robes extravagantes et à long cheveux brun clair a pu devenir une figure emblématique de cette période. La recette est relativement simple: tuer le incorrigibles, et forcer les autres sur le chemin du travail. Cependant, je pense que le pays n'aurait pas développé sans des gens comme Wild Bill Hickok.

Merci pour la petite hitoire Redsilver, mais le Français "accroche" un peu par moments...
Serait-ce une traduction Google ?

Tiens, v'la un kill pour tes peines.

Little Yo a écrit:Merci pour la petite hitoire Redsilver, mais le Français "accroche" un peu par moments...
Serait-ce une traduction Google ?

Tiens, v'la un kill pour tes peines.

Oui, Little Yo j'ai effectué une traduction automatique,pour la prochaine histoire promis je corrigerai les erreurs.

Hé hé ... me disais aussi ! ...

merci pour ces info

La légende de "Wild Bill", comme toute les légendes, est un mélange de choses vraies et d'histoires complaisamment rapportées par les journalistes de l'époque et racontées par Wild Bill lui même, célèbre pour ses incroyables vantardises.

Un des ses duels les plus célèbre, vrai celui-là, contre Davis Tutt en 1865, met en avant son sang froid et ses talents de tireur.

Les deux hommes se tiennent à une distance de 50 pas ou 50 verges ou encore 120 pas (environ 75 mètres), dégainent et visent. Les deux coups de feu partent simultanément. Davis est touché d'une balle entrée par le côté droit entre la 5ème et 7ème côte qui ressort par le côté gauche, au même niveau, traversant la cage toxique. Il titube quelques pas et tombe raide mort.

Wild Bill procédait à cette époque une paire de Colt Navy, un Dragoon et un 32 S&W. On ne sait pas formellement avec qu'elle arme il a tiré, mais il avait l'habitude de changer un de ses Navy contre le Dragoon lorsqu'il avait une "affaire" à régler.

Vu la distance et de résultat sur son adversaire, c'est certainement le Dragoon qu'il a utilisé, laissant au final peu de chance à son adversaire.

Bienvenue à toi

nemessos a écrit:La légende de "Wild Bill", comme toute les légendes, est un mélange de choses vraies et d'histoires complaisamment rapportées par les journalistes de l'époque et racontées par Wild Bill lui même, célèbre pour ses incroyables vantardises.

Un des ses duels les plus célèbre, vrai celui-là, contre Davis Tutt en 1865, met en avant son sang froid et ses talents de tireur.

Les deux hommes se tiennent à une distance de 50 pas ou 50 verges ou encore 120 pas (environ 75 mètres), dégainent et visent. Les deux coups de feu partent simultanément. Davis est touché d'une balle entrée par le côté droit entre la 5ème et 7ème côte qui ressort par le côté gauche, au même niveau, traversant la cage toxique. Il titube quelques pas et tombe raide mort.

Wild Bill procédait à cette époque une paire de Colt Navy, un Dragoon et un 32 S&W. On ne sait pas formellement avec qu'elle arme il a tiré, mais il avait l'habitude de changer un de ses Navy contre le Dragoon lorsqu'il avait une "affaire" à régler.

Vu la distance et de résultat sur son adversaire, c'est certainement le Dragoon qu'il a utilisé, laissant au final peu de chance à son adversaire.

Merci pour ces précisions Nemessos.
Wild Bill était un sacré bonhomme pour dégainer avec un dragoon.
Vu le poids de l'arme et la distance de 50 pas.
Il fallait être pourvu d'une bonne dose de sang-froid et d'une bonne force physique.

Il ne faut pas croire qu'ils sortaient leurs armes et tiraient à toute vitesse comme il est montré dans les films : Ils prenaient le temps de viser, en s’appuyant ou en s'aidant de l'autre bras. C'est la seule façon de toucher une cible si petite à 50 mètres, il n'y en a pas d'autre.

Dans ce duel, les témoins rapportent que Bill a posé son arme sur son autre bras replié et qu'il a visé posément. La balle traverse l'autre protagoniste par le coté, sous le bras droit, ce qui prouve que Davis se tenait de coté, bras tendu, dans la même position que nous le faisons au stand de tir.

Ringo a écrit:D'autre part, les duels "formels" n'étaient peut-être pas si nombreux qu'on a voulu le rapporter.

C'est certain. Ce duel est le seul auquel ait participé "Wild Bill", les autres épisodes sont des fusillades plus ou moins bien engagées.

Bill affirmait au colonel George Nichols (qui l’interviewait pour un journal) qu'il avait personnellement tué des centaines d'hommes et se vantait de pouvoir tirer dans le culot d'une bouteille et faire ressortir sa balle par le goulot sans le casser...

C'est un peu comme l'histoire de ce chevalier qui d'un coup d'épée partage en deux partie son adversaire en armure et le cheval sous lui en même temps : Vous n’êtes pas obligé de prendre l’anecdote au pied de la lettre...

Photo de 1869. A cette époque, il porte toujours ses deux Colt Navy 1851, le brevet Rolling White vient juste d'expirer.

Bonjour,
Une Question : Wild Bill a-t-il porté ses colt 51 jusqu'en 1876 ? Et si oui, étaient -ils des conversions (barillets convertis afin de tirer des cartouches métalliques) car en 1876 beaucoup étaient deja passés aux cartouches métalliques...

8 As As 8 9

 

Jared MADDOX a écrit:8 As As 8 9

 

Pour répondre à la question précédente, je ne sais pas. Mais par contre, en 1876, les armes à cartouches métalliques et les conversions étaient loin d'être courante. Cela tient d'une part à la quantité incroyable d'arme de poing disponible après la mise sur le marché des armes de la guerre civile et d'autre part à la rareté et au prix des armes à percussion équivalente de gros calibre : Colt SAA, S&W en 44. Fin 1875, on arrive péniblement à 22.000 exemplaires de SAA fabriqués dont une partie réservé à l'armé et à peine 40.000 44. russian civils tout modèle confondus si on retire les contrats militaires...

Pour les conversions, il faut tenir compte du prix de la transformation et aussi au coût des munitions qui allaient avec. Les "Utilisateurs" de ces armes de poing de gros calibre étaient habituée au rechargement complexe par l'avant qu'ils maîtrisaient forcement parfaitement et savaient fiabiliser. L’inconvénient majeur du système étant qu'il faut décharger l'arme tous les jours ou presque, ce qui chez nous peut poser problème, mais pas à l'époque.

Les "spécialistes" estiment, d'après les récits de l'époque, que l'on peut situer le l'arrivé en quantité des armes de poing modernes à cartouches de gros calibre dans l'ouest, à l'usage essentiellement des gardiens de troupeaux, vers les années 1890.

L’inconvénient majeur du système étant qu'il faut décharger l'arme tous les jours ou presque

qu'est-ce donc que cette obligation ?
J'ai eu l'occasion de tirer 5 balles d'un Remington 44 laissé pendant plus de 4 ans chargé dans un coffre fort. Les balles étaient dans le carton vers le 5 à 6 h, elles manquaient un peu de vitesse. Le bruit était aussi différent
A la période "historique", si on était pas dans une ville de l'est, ok l'arme était portée à la ceinture (et pas laissée dans un coffre) et souvent l'homme était à cheval. Pour moi, l'obligation était de s'assurer régulièrement que les balles étaient bien à leur place, grâce à un petit coup de refouloir. Et non de tirer pour décharger l'arme

pour revenir vers le champion: quand JW Hardin se pointe sur Abilene, gros marché à bestiaux, la loi est, à sa façon toute personnelle, maintenue par 'Wild Bill'. Des panneaux affichent un peu partout l'interdiction du port d'armes. Hardin se dirige vers le shérif et lui annonce qu'il ne peut se séparer de ses armes, sinon il va decèder très vite. Wil Bill accepte et fait une exception pour lui. Conclusion: sont armés à ce moment là le shérif, ses deputy et ... Hardin

Hickok  avez tout intérêt a être maniaque sur ce sujet cet outil était son assurance vie et peut être  faire  la différence avec celui d'en face .

plusieurs journalistes parlent effectivement d'entraînement journalier pour ce shérif. Le tireur appelait du monde pour montrer son aptitude et probablement décourager certains

Merci à vous

mato waihakta a écrit:L’inconvénient majeur du système étant qu'il faut décharger l'arme tous les jours ou presque

qu'est-ce donc que cette obligation ?
J'ai eu l'occasion de tirer 5 balles d'un Remington 44 laissé pendant plus de 4 ans chargé dans un coffre fort. Les balles étaient dans le carton vers le 5 à 6 h, elles manquaient un peu de vitesse. Le bruit était aussi différent
A la période "historique", si on était pas dans une ville de l'est, ok l'arme était portée à la ceinture (et pas laissée dans un coffre) et souvent l'homme était à cheval. Pour moi, l'obligation était de s'assurer régulièrement que les balles étaient bien à leur place, grâce à un petit coup de refouloir. Et non de tirer pour décharger l'arme

Les armes de cette époque étaient suiffées avant/arrière et toujours déchargées/rechargées au moins une fois dans la semaine et ça je l'ai pas lu sur Internet: cela m'a été raconté (pas directement mais à mon grand-père et comme tous les mômes de douze ans j'avais les oreilles qui traînaient, donc je sais......) par une vieille dame ayant bien connu cette époque et était revenue finir sa vie en France après son veuvage (vi, elle s'était mariée avec un américain) et comme elle a vécu sans être accompagnée de Aloïs Alzeimer jusqu'à quatre-vingt seize ans ans cela m'a permis de la bien connaître....
Tu sais maintenant pourquoi les cowboys entrent en ville en fin de semaine en tirant en l'air dans les films: ce n'est pas une invention de Hollywood, juste un déplacement de situation et une exagération bien que cela se soit assez souvent pratiqué semble-t-il....

D.M.

les cow boys étaient parmi les gens les moins payés. Donc décharger tous les jours ou presque (brûler la poudre l'amorce la balle) ça aurait été foutre l'argent en l'air, je n'y crois pas
Par contre, à un rythme moins élevé, à chaque passage en ville par exemple, là oui j'y crois à fond. Ils signalaient aux filles de joie leur arrivée

L'armée US avait aussi un règlement particulier et précis sur la périodicité des opérations de chargement et de déchargement.

Mais je ne le retrouve pas...

Jared MADDOX a écrit:8 As As 8 9

 

La "dead man's hand" (main de l'homme mort) se composait effectivement de deux 8 noirs et 2 as noirs, mais la 5ème carte était un valet. Personne ne peut affirmer quelle était la couleur de ce valet, mais beaucoup affirment qu'il s'agissait du valet de carreau.