Mon vingt-sixième Schneider & Glassick GLB

Je ne m'en étais pas rendu compte jusque là, mais je possédais jusqu'à hier vingt-cinq répliques de Schneider & Glassick, toutes de marque GLB. L'arrivée d'un exemplaire supplémentaire m'a fait reprendre le compte, et sauf erreur et omission, c'est bien la vingt-sixième. J'avoue que ma distraction me déçoit, parce que j'avais prévu d'organiser une petite fête pour la vingt-cinquième arrivée, et voilà... c'est la vingt-sixième. Pas de gâteau, pas de bulles coulant à flots, pas de cotillons et de chapeaux pointus, pas de feu d'artifice, rien, rien, rien !
Donc voilà, le vingt-sixième est quand même arrivé, et je m'en vais vous le présenter nonobstant.
Il porte des gravures d'un type maintenant habituel sur toutes ses parties métalliques, comme on peut le voir sur ses deux profils.
Datant de 1970 et portant le numéro de série 38247, il était destiné au marché allemand, et a été importé en Allemagne par Hege.
Un précédent propriétaire a débarrassé le bois de crosse de son vernis d'origine, remplacé par une teinture. La poignée porte la marque de son Italie d'origine, ainsi que celle de son fabricant.
Le démontage a montré que ce revolver a tiré, et n'a pas bénéficié de grand nettoyage, mais que par contre il a été copieusement huilé récemment. Rien qu'un bon bain chaud et dégraissant ne puisse traiter.
On remarque au passage la présence de deux ressorts de came arrêtoir et de détente. Comme on l'a déjà rencontré auparavant, ces deux ressorts sont montés .superposés. On suppose qu'il s'agit d'une pratique habituelle chez GLB, peut-être pour les renforcer...
Avant remontage, on note la présence d'un numéro de série interne sur l'extrémité de l'axe du barillet, la face interne de la console du canon, et l'intérieur du bois de crosse. Pourquoi ce numéro figure-t-il  sur ces pièces et pas sur d'autres ? Toutes les suppositions sont permises.
Merci de votre attention.

Bon, là maintenant il faut consulter mon bon Ringo, un GLB ça va, mais vingt six!
Ceci dit il paraît que c’est une addiction bénigne dont on ne guérit pas mais qui ne laisse pas de séquelles visibles
Allez tout ça vaut bien un kill pour saluer ta persévérance !

Ouais 26 S&G et tous de la marque GLB ça ressemble un peu à une addiction, mais je comprends tout à fait. Je suis persuadé que c'est une maladie bénigne et que l'on peut très bien vivre avec :)

Tu n'as pas une petite photo de famille pour immortaliser tout ça ?

A moindre échelle je suis également fan des 1851 & Co et pensais être déjà pas mal atteint avec mes 18 répliques de marques variés mais du coup ça me rassure, tout va bien :)

Une partie de mes 1851 (la photo date d'il y a 4 ans, d'autres sont arrivés depuis)

Laucass l'a demandé, Ringo l'a fait.  
Celui de gauche est un G&G (probablement S&G dont la canon a été tourné), celui de droite un calibre 44.
Les autres sont présentés par année de fabrication, de 1964 à 1971, et par numéro de série, de 3147 à 46858.

C'est une addiction assez originale... 26 ça commence à faire une jolie collection !

Vous m'avez reconnu, Messieurs. Je dois donc l'avouer devant tous : oui, je suis un addict. J'ai besoin de ma dose quotidienne. Sans mon GLB régulier, je m'étiole, je me dessèche, je flétris...
C'est pourquoi je lance à tous un appel solennel : vous qui avez un GLB (EIG Navy ou autre) qui traine et se morfond chez vous, dans un tiroir, un placard, un carton, ou pire encore, contactez moi immédiatement, donnez moi une nouvelle dose et donnez lui une nouvelle vie.

If I feel the urge on Sunday to photograph my two or three horse people, I will post them here. But I don't want to cause a shock effect! .....and yes, Centaures are addictive too...

Ringo a écrit:Laucass l'a demandé, Ringo l'a fait.  
Celui de gauche est un G&G (probablement S&G dont la canon a été tourné), celui de droite un calibre 44.
Les autres sont présentés par année de fabrication, de 1964 à 1971, et par numéro de série, de 3147 à 46858.

Superbes !

C'est dingue aussi comment on peut avoir autant de versions différentes (même si les différences sont dans les détails) d'un même modèle chez le même fabricant. Finalement ils sont tous uniques !