Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
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Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Il y a 311 semaines, Le Molvanien s'est pointé sur le forum, en annonçant qu'il "aimait l'odeur de la poudre et avoir les mains sales".
Avoir les mains sales, je ne dirai rien, ça m'arrive aussi...
Mais l'odeur de la poudre !!! Ca sent le soufre !!! Autant évoquer le Malin, et son cortège de succubes, incubes, et autres sorcières, démons et chats noirs... Pas surprenant qu'Oam travaille d'arrache-pied sur son coffret spécial vampires...
Il n'empêche ! 51 ans, soit 1/2 siècle +1, ça se fête !
Bon anniversaire, donc, Le Molvanien, avec tous ceux qui te sont chers, et profites-en bien.
Avoir les mains sales, je ne dirai rien, ça m'arrive aussi...
Mais l'odeur de la poudre !!! Ca sent le soufre !!! Autant évoquer le Malin, et son cortège de succubes, incubes, et autres sorcières, démons et chats noirs... Pas surprenant qu'Oam travaille d'arrache-pied sur son coffret spécial vampires...
Il n'empêche ! 51 ans, soit 1/2 siècle +1, ça se fête !
Bon anniversaire, donc, Le Molvanien, avec tous ceux qui te sont chers, et profites-en bien.
Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Joyeux Anniversaire le Molvanien
Haa ! La Molvanie ! un pays que s'il n'existait pas il faudrait l'inventer
Haa ! La Molvanie ! un pays que s'il n'existait pas il faudrait l'inventer
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Parler sans penser c'est comme tirer sans viser
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
La poudre noire et son odeur...
** Lui non plusje ne le cafterai pas.
*** Le pauvre est allé chanter avc les anges, je puis donc dire son nom.
**** La Patronne de ceux qui manipulent le feu et la poudre... et les explosifs. Dans notre armée, la Patronne des Artilleurs et des sapeurs, Dans la marine, la Patronne des canonniers et des mineurs...
Cela me rappelle des souvenirs, dans mon enfance à Nîmes.
Mon frère était chef de patrouille scoute à la troupe Scouts de France de la paroisse Sainte Perpétue. C'était l'époque des premiers spoutniks, Gagarine avait fait son tour de la terre, John Glenn aussi. Et mon frère avait découvert la fabrication de la "poudre" au chlorate de potassium. Comme quoi, dans le domaine de la couennerie, on n'est jamais le premier... Il faisait ses expériences dans le jardin du grand mas que louaient nos parents. Mais comme avec cette recette, je le répète, on ne fait pas de la poudre noire mais de l'explosif chloraté, ses tentatives de lancements débouchaient sur des explosions sonores qui mettaient en émoi les alentours et à mal les carreaux.
Ma brave femme de mère incriminait à la fois la fragilité des carreaux - "Le verre n'est plus ce qu'il était "- et... les avions de la base aéronavale de Nîmes Garons qui accueillait l'école de pilotage de CommMed, le commandement de la flotte de Méditerranée, où venaient se qualifier les pilotes affectés sur les nouveaux avions de l’aéronavale, les Étendards produits par Marcel Dassault. Qui passaient le mur du son "au-dessus du mas" ma mère dixit.
Mon père (qui savait à quoi s'en tenir pour avoir vu sous le lit de mon frère les flacons de produits de base servant à la fabrication des propergols solides pas vraiment au point) a sermonné mon frère à sa manière. J'explique, pas de cris sauvages mais un ton froid, soutenant des phrases claires et simples - sujet, verbe, compléments, parfois un adjectif et si par hasard un adverbe montrait le bout d'une initiale, c'est que la situation était moins grave que prévu.
Les phrases, dans ces circonstances s'agençaient dans un discours construit sur un plan qui variait assez peu : Un constat : État de la situation prouvée par des faites établis, chemin à prendre pour redresser la barre en évitant les écueils - il était moniteur national de voile et nous a fait suivre à tous des stages navigation à voile comprenant de la hauturière - et enfin une date butoir pour la remise des choses en un état normal.
Les délais étaient en général assez brefs, de immédiatement à une nano-seconde quand il fallait un peu de temps pour ramasser ses affaires. Lorsque mon père quittait la pièce où s'était tenue cette semonce glaciale, il fallait se mettre à la tâche pour avoir tout réglé avant le repas suivant, en évitant les stalactites de glace qui pendaient du plafond à la fin de l'algarade prononcée sur un ton plus que glaçant.
Or donc, il ne fallut pas longtemps à mon frère pour mettre ses produits pharmaceutiques sur son vélo et déguerpir du Mas Blanc, Route de Saint Gilles à Nîmes (Gard). Mais où planquer ça ? Une illumination - la grâce divine sans doute - le conduisit à penser au coin de patrouille des aigles au local de la troupe.
Au repas du soir, mon près demande à mon frère, sur un ton parfaitement bonhomme : "Untel*, as-tu résolu la question du rangement de tes produits d'entretien ?
- Oui, papa. Ils ne sont plus ici."
Dont acte. Et mon père ne questionne pas plus loin. Ferme mais réaliste.
Les réunions scoutes avaient lieu le samedi après-midi. Le jeudi, se réunissait parfois la Haute Patrouille (les chefs de la troupe et les chefs de patrouille). Le vendredi soir, parfois, les C.P. allaient au local pour préparer du matériel pour la réunion du samedi après-midi avec les "patrouillards". Je rappelle qu'à cette époque de bien avant 68, il y avait cours le samedi matin au Lycée. Et le samedi toute la journée dans le primaire.
Mais comme par hasard, mon frère et son grand copain Telautre** ont eu à faire presque tous les vendredi soirs pour soi-disant préparer la réunion du lendemain. Ils quittaient le lycée à 16H00 et filaient au local jusqu'à six heures. Icelui était installé dans les caves de l'église Saint Perpétue, près de la chaufferie à charbon.
Et là, protégés par des "épais blindages" de carton ondulé, ils assistaient au décollage et à l'inévitable explosion de leurs fusées dont le propergol contenu dans des tubes de pompe à vélo en aluminium ne supportait pas la montée en pression dans un tube chauffé à fondre par la flamme d'explosif en combustion. La fumée à l'odeur sulfurée - et sulfureuse - montait dans les aérateurs de l'église et poussée par les venturi d'air chaud de la chaudière à charbon répandait dans l'église un fumet qui rappelait plus les séjours infernaux que la félicité du miel paradisiaque.
Alors, un samedi après-midi le curé est descendu "voir les scouts". Il faut savoir que le samedi après-midi, le curé confessait et les "punaises de sacristie" ne manquaient pas une confession. On se demande pourquoi, parce que leurs péchés le plus... suaves remontaient aux souvenirs de plus en plus flous de leur jeunesse. Mais ces vieilles peaux ne manquaient pas de faire remarquer à leur curé que "tout de même depuis quelques temps il semblait que le malin avait élu domicile dans son église pour préparer une 'énorme chose'"...
Le curé Afflaté ***, Archiprêtre de la paroisse et vieux de la vieille qui avait fait la guerre savait bien ce qui se passait dans ses caves et se contentait de demander dans ses prières du soir à Sainte Barbe**** de protéger ces jeunes scouts au moins jusqu'à ce que leur lubie momentanée cesse.
Seulement ils continuaient et le soufre était de plus en plus prégnant par-dessus l'encens des vêpres.
Alors le prêtre avait pris sur lui de descendre "voir les scouts". Et feignant une grosse colère il s'emporta dans les termes suivants :
"Nom de Dieu les scouts. Vous en avez pas assez de toutes vos essspériences que ça pue l'enfer dans toute mon église et que les bigotes en sont à se demander si j'ai pas les pieds fourchus ! Je suis sûr qu'il y en a même qui voudraient bien vérifier que ma queue se se finit pas en lancéoles rougeâtres !" (Avec bien sûr un très fort et très chaud accent provençal). Il a stupéfi les chefs de a maîtrise qui ne connaissaient pas les expériences aux quelles se livraient mon frère et son grand copain, et surtout il a horrifié les bigotes qui ont entendu leur archiprêtre sacrée le nom de dieu et... évoquer sa queue, ce qu'elles ne faisaient, elles, que seules et dans leur intimité la plus opaque.
L'Abbé Afflaté quitta les lieux sur le champ pour remonter continuer ses confessions. En passant toute fois par la sacristie pour finir de calmer sa crise de fou-rire.
Nous avons appris ces événements quelques années plus tard. Et le vieux père Afflaté qui venait de prendre sa retraite en riait encore. Il précisa toutefois que cette colère salutaire semblait avoir calmé les tentatives des jeunes de se hisser au niveau de la NASA.
En fait ce qui les a vraiment calmés, c'est qu'un autre chef de patrouille, fils d'un pharmacien, avait préparé une fusée à propergol liquide avec un des laborantins de son père. Ils l'avaient tirée un dimanche au camp des Garrigues, un camp d'infanterie près de Nîmes. Cette fusée était propulsée par un oxéthal comme carburant et un mélange d'air comprimé et d'éther comme comburant. Sans guidage cette fusée a commencé à monter, l'oxéthal s'est consommé avant le comburant et l'engin est retombé provocant la détonation du reste de comburant - éther et oxygène - chauffé et sans doute avec une inflammation de métal chauffé à fondre par l'oxéthal.
Cela s'est passé un dimanche où le hasard a voulu que le sous-officier chef de poste au camp des Garrigues ce était un autre de mes frères, instructeur radariste à l'ESAA (École supérieure d'artillerie antiaérienne). Il venait de rentrer d'Algérie et finissait son contrat avec l'armée.
Il connaissait le fils du pharmacien, qui avait été brulé assez sérieusement, et a prévenu son père qui est arrivé en urgence. Les "explications de gravures" se sont passées sans mise à contribution de la Gendarmerie. Le Commandant du Groupement, à l'époque, était un ancien officier de chasseurs alpins reconverti qui avait été témoin de mon père à son mariage et avait fait la guerre avec lui dans les Abruzzes. La brigade de gendarmerie territorialement compétente n'a dont pas été activée et le procureur, assez occupé avec l'OAS, n'a pas tenu cette affaire pour sérieuse et n'y a pas donné suite.
Mais que se serait-il passé si tout avait suivi les procédures normales ?
Depuis ces histoires, l'odeur de poudre a pour moi un relent de madeleine depoudre Proust. Et pourtant, j'en ai reniflé, de la poudre comme artilleur pendant treize ans et autres spécialités pendant quatorze autres années sans compter la poudre des armes familiales et des miennes au stand civil ou dans les propriétés familiales.
* Aucune raison que je cafte son nom.Mon frère était chef de patrouille scoute à la troupe Scouts de France de la paroisse Sainte Perpétue. C'était l'époque des premiers spoutniks, Gagarine avait fait son tour de la terre, John Glenn aussi. Et mon frère avait découvert la fabrication de la "poudre" au chlorate de potassium. Comme quoi, dans le domaine de la couennerie, on n'est jamais le premier... Il faisait ses expériences dans le jardin du grand mas que louaient nos parents. Mais comme avec cette recette, je le répète, on ne fait pas de la poudre noire mais de l'explosif chloraté, ses tentatives de lancements débouchaient sur des explosions sonores qui mettaient en émoi les alentours et à mal les carreaux.
Ma brave femme de mère incriminait à la fois la fragilité des carreaux - "Le verre n'est plus ce qu'il était "- et... les avions de la base aéronavale de Nîmes Garons qui accueillait l'école de pilotage de CommMed, le commandement de la flotte de Méditerranée, où venaient se qualifier les pilotes affectés sur les nouveaux avions de l’aéronavale, les Étendards produits par Marcel Dassault. Qui passaient le mur du son "au-dessus du mas" ma mère dixit.
Mon père (qui savait à quoi s'en tenir pour avoir vu sous le lit de mon frère les flacons de produits de base servant à la fabrication des propergols solides pas vraiment au point) a sermonné mon frère à sa manière. J'explique, pas de cris sauvages mais un ton froid, soutenant des phrases claires et simples - sujet, verbe, compléments, parfois un adjectif et si par hasard un adverbe montrait le bout d'une initiale, c'est que la situation était moins grave que prévu.
Les phrases, dans ces circonstances s'agençaient dans un discours construit sur un plan qui variait assez peu : Un constat : État de la situation prouvée par des faites établis, chemin à prendre pour redresser la barre en évitant les écueils - il était moniteur national de voile et nous a fait suivre à tous des stages navigation à voile comprenant de la hauturière - et enfin une date butoir pour la remise des choses en un état normal.
Les délais étaient en général assez brefs, de immédiatement à une nano-seconde quand il fallait un peu de temps pour ramasser ses affaires. Lorsque mon père quittait la pièce où s'était tenue cette semonce glaciale, il fallait se mettre à la tâche pour avoir tout réglé avant le repas suivant, en évitant les stalactites de glace qui pendaient du plafond à la fin de l'algarade prononcée sur un ton plus que glaçant.
Or donc, il ne fallut pas longtemps à mon frère pour mettre ses produits pharmaceutiques sur son vélo et déguerpir du Mas Blanc, Route de Saint Gilles à Nîmes (Gard). Mais où planquer ça ? Une illumination - la grâce divine sans doute - le conduisit à penser au coin de patrouille des aigles au local de la troupe.
Au repas du soir, mon près demande à mon frère, sur un ton parfaitement bonhomme : "Untel*, as-tu résolu la question du rangement de tes produits d'entretien ?
- Oui, papa. Ils ne sont plus ici."
Dont acte. Et mon père ne questionne pas plus loin. Ferme mais réaliste.
Les réunions scoutes avaient lieu le samedi après-midi. Le jeudi, se réunissait parfois la Haute Patrouille (les chefs de la troupe et les chefs de patrouille). Le vendredi soir, parfois, les C.P. allaient au local pour préparer du matériel pour la réunion du samedi après-midi avec les "patrouillards". Je rappelle qu'à cette époque de bien avant 68, il y avait cours le samedi matin au Lycée. Et le samedi toute la journée dans le primaire.
Mais comme par hasard, mon frère et son grand copain Telautre** ont eu à faire presque tous les vendredi soirs pour soi-disant préparer la réunion du lendemain. Ils quittaient le lycée à 16H00 et filaient au local jusqu'à six heures. Icelui était installé dans les caves de l'église Saint Perpétue, près de la chaufferie à charbon.
Et là, protégés par des "épais blindages" de carton ondulé, ils assistaient au décollage et à l'inévitable explosion de leurs fusées dont le propergol contenu dans des tubes de pompe à vélo en aluminium ne supportait pas la montée en pression dans un tube chauffé à fondre par la flamme d'explosif en combustion. La fumée à l'odeur sulfurée - et sulfureuse - montait dans les aérateurs de l'église et poussée par les venturi d'air chaud de la chaudière à charbon répandait dans l'église un fumet qui rappelait plus les séjours infernaux que la félicité du miel paradisiaque.
Alors, un samedi après-midi le curé est descendu "voir les scouts". Il faut savoir que le samedi après-midi, le curé confessait et les "punaises de sacristie" ne manquaient pas une confession. On se demande pourquoi, parce que leurs péchés le plus... suaves remontaient aux souvenirs de plus en plus flous de leur jeunesse. Mais ces vieilles peaux ne manquaient pas de faire remarquer à leur curé que "tout de même depuis quelques temps il semblait que le malin avait élu domicile dans son église pour préparer une 'énorme chose'"...
Le curé Afflaté ***, Archiprêtre de la paroisse et vieux de la vieille qui avait fait la guerre savait bien ce qui se passait dans ses caves et se contentait de demander dans ses prières du soir à Sainte Barbe**** de protéger ces jeunes scouts au moins jusqu'à ce que leur lubie momentanée cesse.
Seulement ils continuaient et le soufre était de plus en plus prégnant par-dessus l'encens des vêpres.
Alors le prêtre avait pris sur lui de descendre "voir les scouts". Et feignant une grosse colère il s'emporta dans les termes suivants :
"Nom de Dieu les scouts. Vous en avez pas assez de toutes vos essspériences que ça pue l'enfer dans toute mon église et que les bigotes en sont à se demander si j'ai pas les pieds fourchus ! Je suis sûr qu'il y en a même qui voudraient bien vérifier que ma queue se se finit pas en lancéoles rougeâtres !" (Avec bien sûr un très fort et très chaud accent provençal). Il a stupéfi les chefs de a maîtrise qui ne connaissaient pas les expériences aux quelles se livraient mon frère et son grand copain, et surtout il a horrifié les bigotes qui ont entendu leur archiprêtre sacrée le nom de dieu et... évoquer sa queue, ce qu'elles ne faisaient, elles, que seules et dans leur intimité la plus opaque.
L'Abbé Afflaté quitta les lieux sur le champ pour remonter continuer ses confessions. En passant toute fois par la sacristie pour finir de calmer sa crise de fou-rire.
Nous avons appris ces événements quelques années plus tard. Et le vieux père Afflaté qui venait de prendre sa retraite en riait encore. Il précisa toutefois que cette colère salutaire semblait avoir calmé les tentatives des jeunes de se hisser au niveau de la NASA.
En fait ce qui les a vraiment calmés, c'est qu'un autre chef de patrouille, fils d'un pharmacien, avait préparé une fusée à propergol liquide avec un des laborantins de son père. Ils l'avaient tirée un dimanche au camp des Garrigues, un camp d'infanterie près de Nîmes. Cette fusée était propulsée par un oxéthal comme carburant et un mélange d'air comprimé et d'éther comme comburant. Sans guidage cette fusée a commencé à monter, l'oxéthal s'est consommé avant le comburant et l'engin est retombé provocant la détonation du reste de comburant - éther et oxygène - chauffé et sans doute avec une inflammation de métal chauffé à fondre par l'oxéthal.
Cela s'est passé un dimanche où le hasard a voulu que le sous-officier chef de poste au camp des Garrigues ce était un autre de mes frères, instructeur radariste à l'ESAA (École supérieure d'artillerie antiaérienne). Il venait de rentrer d'Algérie et finissait son contrat avec l'armée.
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Mais que se serait-il passé si tout avait suivi les procédures normales ?
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** Lui non plusje ne le cafterai pas.
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Bon anniversaire le Molva !
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Joyeux anniversaire le Molva
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Dr King Schultz a écrit:Joyeux anniversaire le Molva
PS : j'offre un kill a celui qui me fait un résumé de ce qu'a posté Cobra
Y dit que chez les scouts il fabriquait des fusées au propergol...faut suivre Doc, faut suivre
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Merci Little
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Kill : 221
Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Et puis ,bon, qui n'a pas tenté d'expériences bizarres dans sa jeunesse, notre bon Cobravif s'est un peu laissé emporter, mais que tout cela ne nous empêche pas de revenir au sujet:
Bon anniversaire ,Molva, continue à prospérer ....et à te salir les mains avec le produit idoine!!
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En matière de whiskies, j'ai des goûts simples, je me contente aisément du meilleur.
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Chewie a écrit:Bon anniversaire le Molva !
Une nouvelle arme pour fêter ça ?
Ca manque de Centaure en ce moment...
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Ringo a écrit:Il y a 311 semaines, Le Molvanien ... et son cortège de succubes, incubes, ...
Tu as oublié les "gros cubes"
Joyeux anniv"
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
bon anniversaire
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Merci à tous pour vos bons voeux... et en avant pour la prochaine année
A priori, pas de nouvelle arme PN pour mes 51 ans..... juste 3 autorisations en B1 arrivées de la pref par le facteur samedi dernier
je suis donc en phase de "lèche vitrine"... mais ce ne seront probablement pas des armes Old West... j'aime bien le 22 aussi (pas cher, ludique)
A priori, pas de nouvelle arme PN pour mes 51 ans..... juste 3 autorisations en B1 arrivées de la pref par le facteur samedi dernier
je suis donc en phase de "lèche vitrine"... mais ce ne seront probablement pas des armes Old West... j'aime bien le 22 aussi (pas cher, ludique)
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Caramba !.... encore raté !
le Molvanien- Sheriff adjoint
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
Mon cher molva, je te souhaite tout plein de bonnes choses pour ce 51nième anniversaire.
Puisse-tu trouver presque tout ce que tu cherches pour qu'il te reste quelque chose à attendre.
Bon annif !
Puisse-tu trouver presque tout ce que tu cherches pour qu'il te reste quelque chose à attendre.
Bon annif !
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un script pour calculer le réglage de la hausse ou du guidon et un script pour le calcul du prix du tir à la poudre noire...
oam- Sheriff adjoint
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Re: Joyeux anniversaire, Le Molvanien !
En retard (j' étais parti quelques jours) un très bon anniversaire le Molva.
Tiens, comme cadeau, je vais peut-être t' envoyer des photos du barillet gravé que je t' avais promises et qui m' étaient complètement sorties de la tête.
Tiens, comme cadeau, je vais peut-être t' envoyer des photos du barillet gravé que je t' avais promises et qui m' étaient complètement sorties de la tête.
Invité- Invité
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