4 eme cat dans les années 80.

Salut, je me posais la question sur le fonctionnement de la 4 eme cat à cette époque. Alors je sais que c’ est du passé et qu’ on ne refait pas l’ histoire mais c’ est toujours intéressant pour la culture.
J’ ai connu cette époque mais cette catégorie me paraissait contraignante et la 5 eme m’ allait bien.
Elle était peut être pas si contraignante que ça. Il me semble qu’ il suffisait d’ une inscription en stand. A la radio j’ avais entendu que certains armuriers faisaient remplir à bultin d’ inscription de stand pour vendre une arme.
Par contre que ce passait il si on cessait son inscription au stand. Était il possible de conserver l’ arme? Bref un peu comme la cat C en ce moment.
Y avait-il un fichage en préfecture? Alors attention je ne parle pas de l’ inscription sur le livre de police de l’ armurier, ça c’ était aussi valable pour la cat5 et ça n’ a rien à voir.

Non, 4e a l'époque, en gros tous les calibres de revolver + le 7.65 browning autorisés

   Inscription club de tir, licence obligatoire, tir régulier pendant au moins 1 an

   Ensuite demande de détention a la prefecture, détention valable 3 ans, et 3 percussion centrale maximum ..........

   Aujourd'hui c'est du B, valable 5 ans et jusqu'a 12 détentions possible

Dans note club , les tirs " contrôlés " demeurent , car nous sommes 200 tireurs , et les critères " d'assisuité " ne sont pas gérables . . .

Un nouveau tireur ; s'il désire détenir une arme en catégotrie " B ", doit effectuer 3 tirs " contrôlés " dans l'année , séparés de deux mois et un jour , ensuite , il pourra déposer une " demande d'acquisition d'arme de catégorie " B " Cette demande sera transmise par le président à la fédération Française de tir qui décidera , sur avis du Président du club , d'accorder ou on la dite autoristion ( Feuille verte à remettre àl'armurier , avec ses papiers d'identité et sa licence de tir . Cette procédure est destinée à décourager les personnes mal intentionnées d'obtenir une détention , simplement en " prenant " une licence , et le lendemain d'aller commettre un méfait avec . . . .