hanging (pendaisons......images chocs, attention!)

l'avatar de walker44 m'a donné lidé de ce sujet....
l'ouest sauvage etait souvent le theatre de justice expeditive......
les gens se faisaient juges et bourreaux....






les executions officielles ,elles, avaient lieux en public...un vrai spectacle auquel toute la famille assistait
une estrade de potence ressemblait à ça





bon ben à priori ça fonctionnait..

@lain

vous avez je suppose remarqué::
la similitude entre deux des photos
d'ou l'idée entre gidéon et moi du sujet en privé

l'arbre est le m^me
il manque entre les deux scene au moins une photo
qui la trouvera
oublion la partie morbide
mais trouvons la partie du départ de la diligence, avant le constat du DCD

Il existe , aux USA un livre qui regroupe les photos anciennes d'execussions...avec des petits recits..je vais chercher si je retrouve le titre

merci Enzo!

Pour préciser un détail morbide... certains bourreaux étaient visiblement des amateurs ! Le but de la pendaison n'est pas d'asphyxier le condamné, mais de lui casser le cou (il y a une grosse différence.... asphyxie = mort lente et douloureuse, cou cassé = rapide). Sur certaines photos, on peut remarquer qu'à la position de la tête, le cou n'est pas cassé....

J'avais de suite remarqué la similitude entre les deux arbres (grâce à mon oeil de lynx)
Par contre, sur la troisième, on dirait que le gars gigote encore et qu'un des cavaliers lui tire dessus (mais peut-être mon oeil de lynx me joue t-il des tours pendables)
Dommage qu'on ne pratique plus, ça en ferait réfléchir certains.......................

le Molvanien a écrit:Pour préciser un détail morbide... certains bourreaux étaient visiblement des amateurs ! Le but de la pendaison n'est pas d'asphyxier le condamné, mais de lui casser le cou (il y a une grosse différence.... asphyxie = mort lente et douloureuse, cou cassé = rapide). Sur certaines photos, on peut remarquer qu'à la position de la tête, le cou n'est pas cassé....

je pense (d'apres lectures) que c'etait volontaire................ils "levaient" le condamné pour "l'etrangler" plutot que de le laisser tomber fortement afin qu'il se brise le cou.. je pense que c'est le cas photo num 3

Visiblement sur la 3, c'est le cas. Il semblerait même que la corde soit attachée au pommeau d'une selle (traction par le cheval). Sur la 2, le cou n'est pas cassé non plus, même si ce n'est pas une traction (puisqu'il était sur le toit de la diligence). Dans ce cas, c'est la position du noeud qui est déterminante (il faudrait qu'il soit sur le côté pour casser le cou.. là il est derrière). Je sais, ce que je raconte est glauque, mais c'est à ça que se faisait la différence entre un "bon" bourreau et une "mauvais". Ceci dit, le paramètre humain compte aussi... parfois la volonté de faire souffrir volontairement était présente (j'ai lu une partie des mémoires du bourreau américain du tribunal de Nuremberg, qui avouait avoir volontairement salopé le boulot pour certains condammés, afin de les faire souffrir).

@ Papy: j'ai aussi l'impression qu'un des hommes mets en joue le supplicié... frime pour la photo ou volonté d'abréger les souffrances ? on ne le saura jamais.

le Molvanien a écrit:Visiblement sur la 3, c'est le cas. la différence entre un "bon" bourreau ... parfois la volonté de faire souffrir volontairement était présente ..
.

oui ,oui,....nous sommes d'accord!...
j'essaie de retrouver le bouquin dans lequel j'avais lu ça...
@lain

Sujet original, un bon point pour toi gideon !
Glauque !? NOOooon !

... dans la série glauque: le goudron et les plumes

Le goudron chaud (puisque liquide) était versé sur tout le corps, donc brulures importantes, puis des plumes étaient versées sur ce goudron. Ensuite le supplicié était baladé en ville à califourchon sur une traverse, il était évidemment battu à coup de triques pendant ce temps. Ca c'est la version classique, une variante consistait à bruler les plumes, ce qui allumait le goudron... en gros le gars cramait vif. S'il survivait, le fait de retirer le goudron lui arrachait la peau, s'il ne le faisait pas, il mourrait d'asphyxie (on respire par la peau). le premier récit de ce type de supplice date de 1189 en Angleterre.... ils n'ont rien inventé dans le Wild West

Charmant..

j'ai ne sais ou , entendu une version avec le miel + plume
le résultat étant le m^me je pense au final.

Bloob a écrit:Sujet original, un bon point pour toi gideon !
Glauque !? NOOooon !

histoire de l'ouest "sauvage"...................................