le colt walker "army san marco"

Bill Dixon portait la même coiffure que le chef Œil Noir, un bonnet avec des cornes de yearling de bison. Sauf que les cornes de Bill, elles poussaient sur son front. Il était interdit à toutes les parties de dés. Et il paraît que sa femme "recevait" des gens de passages quand il était au bois à couper pour l'hiver (Homme blanc couper beaucoup bois).
Et quand ledit Dixon est allé voir l'apothicaire pour des hémorroïdes qui l'empêchaient de monter à cheval, le potard a noté que le fondement du cow-boy était entouré de pâtes alimentaires...

Cette selle permet aussi, sans doute, d'éviter le désarçonnage par réaction d'un cavalier qui aurait abusé des rations militaires états-uniennes.
Pendant la guerre du Golfe (celle de Daguet & Désert Chie Désert Tonne, je précise parce que depuis la guerre Iran Iran de 1980-88, on n'arrête pas d'entendre les journaleux baver sur des "guerres du Golfe") depuis cette deuxième guerre du Golfe, de 1990-91donc, les rations de campagne états-uniennes avaient cette particularité de provoquer la génération de gaz riche en méthane, dit "GDF"*, chez les consommateurs. Si en 1990-91 cet inconvénient persistait malgré les progrès depuis l'époque où McClellan commandait - mal - l'Armée du Potomac, on peut penser qu'à l'époque, le phénomène était encore pire et que les déflagrations que représentaient les éructations gastriques devaient trouver une échappatoire si on ne voulait par voir le cavalier projeté en l'air par ce phénomène de réaction qui déjà propulsait les fusées d'artifice. En clair, les cavaliers nourris des rations militaires US pétaient encore plus que leurs chevaux, les mules et les bœufs qui tiraient les chariots du Train des Équipages réunis.
La présentation de cette selle, ami Gringo, semble étayer cette étude hystérique historique, exercice dont je suis friand depuis mes études universitaires.
Là, au lieu de réciter des cours à l'oral ou par écrit comme au lycée, on avait le droit de commenter de la documentation historique et d'avancer ses thèses sur le sujet à l'étude. Tu te doutes bien en voyant la rigueur de mon raisonnement au sujet de cette selle que mes travaux universitaires ont révélé des découvertes inédites cachées dans les poussières dissimulantes que n'avaient jamais soulevées mes prédécesseurs.
En fait, je me dis que je pourrais écrire des livres d'histoire pour le Nouveau Collège Belkacem. Sauf que je ne serais pas dans ligne éditoriale du ministère, je pense.

*GDF : gaz de fondement.

Bon, je développe le sigle - qui n'est pas un acronyme puisqu'il est imprononçable si on tient à citer toutes les lettres.
F : fond
FO : forme
M : mouvement
E : éclairage
C : couleur

FFOMEC. C'était le moyen mnémotechnique "de mon temps" (voix chevrotante et sucre en poudre même autour de l'assiette de fraises).
Ensuite, sans doute pour "améliorer" on y a ajouté pour "laisser sa trace" dans l’histoire de la FETTA (formation élémentaire toutes armes, pas le fromage grec) les lettres B (bruit), L (lumière), O (odeurs) et T (traces).
C'est très con : car si on peut à la rigueur penser au bruit, il est en principe abordé avant les éléments du camouflage immobile, en particulier lors de l'instruction sur les déplacements. La Lumière est incluse dans la couleur, quant aux bruits et odeurs, je trouve que cela fait assez Chirac de la Grande Époque, non ?
Et les traces, qui sont en fait incluses dans le programme de l'instruction sur le déplacement, donc avant le camouflage, les traces donc dans le cas qui nous occupe, existent mais elles sont invisibles ; à moins que l'auteur des traces donne vraiment dans... l’exhibitionnisme de mauvais aloi.