Présentation de mon 1860 richar mason

Bonjour voici l'un de mes préférés avec lequel je fais de beaux cartons.

Euh, ce n'est pas un Richards-Mason.
C'est le modèle précédent : le Richards ...... tout court !
Très belle acquisition !

Le possède le même en .44 Colt et il n'est pas loin de devenir mon préféré.
Avec son "père", le 1860 Army :

Merci, mon graal personnel serait un Thuer

J’adore le Richards , quelle allure !

Cependant j’avais lu que le 1860 army développe une puissance supérieure au cartouches du successeur.
Pour le moment j’en reste au plus grand des grands le 1860. Quelle est votre retour d’expérience sur le Richards ?

Pour la puissance comparée, je ne sais pas mais, si la chambre du 1860 Army peut contenir davantage de PN qu'une douille du Richards, à poids de balle égale, il serait logique qu'il soit plus puissant.

A l'origine, le calibre était le .44 Colt : douille de dimensions un peu plus petites que le .44-40 mais, avec une balle dans les .450 pour conserver le canon du 1860 Army. La balle faisait dans les 225 gn.
Aujourd'hui, pour ses répliques, Uberti propose toujours entre autres, ce calibre .44 Colt.
Mais, il ne fait plus que .429 : même tube que pour le .44-40, économie !
J'ai néanmoins choisi ce calibre pour son côté historique dans le révolver en question, bien que ce ne soit plus le .44 Colt d'origine.
Le rechargement se fait avec des outils LEE en .44 Spécial.
Au lieu d'utiliser des balles de .44-40 en 200 gn, j'ai trouvé des balles plus lourdes en 245 gn et, avec 16 gn de S2, la précision est bonne à 25 m.
ça change du SAA....

J'en suis très content



Voici le carton du jour. En rose et pastilles, des essais de chargement en A0. Les autres trous 1,4gr de suisse 3 + 0,8gr de semoule extra fine+ balle big lub de 160g.

Jesse Lone Rider a écrit:si la chambre du 1860 Army peut contenir davantage de PN qu'une douille du Richards, à poids de balle égale, il serait logique qu'il soit plus puissant.

l'étui du 45 lc contient 40 grains max ce qui est plus que la charge de guerre du 1860 dont la chambre était conique.

OK mais, le Richards d'origine n'était pas chambré en .45LC. Ce calibre dans cette arme est proposé dans les répliques Uberti ainsi que le 44-40, par exemple.
A l'origine, c'était le .44 Colt dont j'ai parlé plus haut. C'est une douille plus petite que le .45LC ou le .44-40 et qui dont contenir 28-30 gn au maximum.
Il faudrait pouvoir comparer la longueur du barillet d'un Richards original avec les barillets des répliques Uberti.
Il ne serait pas étonnant que Aldo ait un peu gonflé ses barillets pour pouvoir les forer en .45LC ou en .44-40.

Dans l'absolu ça doit être possible de recréer une conversion en 44 colt à partir d'une base d'un uberti 45 et d'un barillet cap & ball usiné.

Tout ça est très intéressant, quoi qu’il en soit , cette arme est l’une des plus belles qui soit à mon goût !
Merci à tous pour cet échange sur le Mason !