Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
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Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
En fait, je ne vais pas vous parler des tout premiers S&W qui étaient les « Volcanics » à balle-fusée, précurseurs des futurs fusils Henry et Winchester, mais des premiers S&W à cartouches métalliques.
En effet, après avoir inventé la cartouche de 22 court à percussion annulaire et s’être assuré les droits du brevet Rollin White lui permettant de produire l’arme pour tirer cette cartouche, S&W sortit son revolver « N° 1 » à 7 coups en 1857 (il y eu 3 modèles de ce N° 1 et plusieurs variantes du premier modèle).
Ce revolver eut immédiatement un énorme succès en raison de sa rapidité et de la facilité de chargement, bien que les clients se plaignirent de la très faible puissance de la munition.
A ce sujet, Mark Twain a raconté que, séjournant dans un hôtel, il avait vu un homme sortir d’une chambre en disant gentiment à sa femme « ma chérie, tu ne devrais pas te mettre dans une telle colère pour si peu », avant de s ‘écrouler quelques mètres plus loin avec dans le ventre les 7 balles de 22 court que sa femme venait de lui tirer.
Ce manque de puissance n’empêcha pas un certain nombre d’officiers de partir à la guerre de sécession avec leur sabre et un S&W 22 court en seconde arme !
Bien conscients du problème, S&W sortit en 1860 son modèle « N° 2 » à 6 coups en calibre 32 long, toujours à percussion annulaire. Ce revolver beaucoup plus puissants que le premier eut un tel succès auprès des officiers, qui devaient acheter leur propre arme de poing, que la firme se trouva très vite en rupture de stock.
Devant ce succès, S&W, après la guerre, décida en 1868 de sortir un modèle pocket dans ce même calibre de 32, mais avec une carcasse plus petite que le N° 2 et à 5 coups au lieu de 6.
Le dilemme qui se posa fut comment appeler ce nouveau revolver. La logique aurait voulu que ce fut « N° 3 », mais la marque estima que cela ne convenait pas, l’arme étant plus petite et de moindre capacité que le précédent. Et c’est là qu’ils firent vraiment preuve d’un manque d’imagination évident en décidant de la nommer tout bêtement « N° 1 1/2 ».
Ce S&W N° 1 ½ a existé en 2 modèles : le premier avec crosse à base carrée, barillet lisse et arrêtoir de barillet situé en dessous de ce dernier, et le second avec crosse en bec de corbin, barillet cannelé et arrêtoir de barillet sur le dessus de la carcasse, comme d’ailleurs sur les S&W N° 1 et N° 2.
Mais à l’époque, on ne jetait jamais rien, et comme à la sortie du second modèle en 1869, il restait des pièces semi-finies du premier modèle, S&W produisit, en février et mars 1869, 650 exemplaires d’un modèle dit « de transition » qui associait la carcasse du second modèle avec le canon et le barillet du premier modèle.
Sur ces 650 exemplaires, 400 furent exportés en France, 200 au Japon, et seulement 50 exemplaires restèrent aux Etats-Unis. C’est pourquoi ces revolvers de transition, s’ils ne sont pas plus recherchés que cela en Europe, atteignent des cotes à plusieurs milliers de dollars aux U.S.A.
C’est également pourquoi des bidouilleurs essayèrent, heureusement sans succès, de bricoler des faux en mélangeant des pièces des deux modèles, ce qui aurait été impossible même à S&W si les pièces en stock n’avaient pas été seulement semi-finies.
En effet, si les encoches de barillet du premier modèle étaient situées entre les chambres, en raison du nombre de celles-ci (5) et du fait que l’arrêtoir était en dessous du barillet, il fallait que ces encoches soient en face des chambres pour la carcasse du second modèle avec son arrêtoir sur le dessus du barillet. De la même façon, la partie de la carcasse sur laquelle venait se verrouiller le canon devait être plus large avec le canon du premier modèle qu’avec celui du second.
En effet, après avoir inventé la cartouche de 22 court à percussion annulaire et s’être assuré les droits du brevet Rollin White lui permettant de produire l’arme pour tirer cette cartouche, S&W sortit son revolver « N° 1 » à 7 coups en 1857 (il y eu 3 modèles de ce N° 1 et plusieurs variantes du premier modèle).
Ce revolver eut immédiatement un énorme succès en raison de sa rapidité et de la facilité de chargement, bien que les clients se plaignirent de la très faible puissance de la munition.
A ce sujet, Mark Twain a raconté que, séjournant dans un hôtel, il avait vu un homme sortir d’une chambre en disant gentiment à sa femme « ma chérie, tu ne devrais pas te mettre dans une telle colère pour si peu », avant de s ‘écrouler quelques mètres plus loin avec dans le ventre les 7 balles de 22 court que sa femme venait de lui tirer.
Ce manque de puissance n’empêcha pas un certain nombre d’officiers de partir à la guerre de sécession avec leur sabre et un S&W 22 court en seconde arme !
Bien conscients du problème, S&W sortit en 1860 son modèle « N° 2 » à 6 coups en calibre 32 long, toujours à percussion annulaire. Ce revolver beaucoup plus puissants que le premier eut un tel succès auprès des officiers, qui devaient acheter leur propre arme de poing, que la firme se trouva très vite en rupture de stock.
Devant ce succès, S&W, après la guerre, décida en 1868 de sortir un modèle pocket dans ce même calibre de 32, mais avec une carcasse plus petite que le N° 2 et à 5 coups au lieu de 6.
Le dilemme qui se posa fut comment appeler ce nouveau revolver. La logique aurait voulu que ce fut « N° 3 », mais la marque estima que cela ne convenait pas, l’arme étant plus petite et de moindre capacité que le précédent. Et c’est là qu’ils firent vraiment preuve d’un manque d’imagination évident en décidant de la nommer tout bêtement « N° 1 1/2 ».
Ce S&W N° 1 ½ a existé en 2 modèles : le premier avec crosse à base carrée, barillet lisse et arrêtoir de barillet situé en dessous de ce dernier, et le second avec crosse en bec de corbin, barillet cannelé et arrêtoir de barillet sur le dessus de la carcasse, comme d’ailleurs sur les S&W N° 1 et N° 2.
Mais à l’époque, on ne jetait jamais rien, et comme à la sortie du second modèle en 1869, il restait des pièces semi-finies du premier modèle, S&W produisit, en février et mars 1869, 650 exemplaires d’un modèle dit « de transition » qui associait la carcasse du second modèle avec le canon et le barillet du premier modèle.
Sur ces 650 exemplaires, 400 furent exportés en France, 200 au Japon, et seulement 50 exemplaires restèrent aux Etats-Unis. C’est pourquoi ces revolvers de transition, s’ils ne sont pas plus recherchés que cela en Europe, atteignent des cotes à plusieurs milliers de dollars aux U.S.A.
C’est également pourquoi des bidouilleurs essayèrent, heureusement sans succès, de bricoler des faux en mélangeant des pièces des deux modèles, ce qui aurait été impossible même à S&W si les pièces en stock n’avaient pas été seulement semi-finies.
En effet, si les encoches de barillet du premier modèle étaient situées entre les chambres, en raison du nombre de celles-ci (5) et du fait que l’arrêtoir était en dessous du barillet, il fallait que ces encoches soient en face des chambres pour la carcasse du second modèle avec son arrêtoir sur le dessus du barillet. De la même façon, la partie de la carcasse sur laquelle venait se verrouiller le canon devait être plus large avec le canon du premier modèle qu’avec celui du second.
Patibulaire- Full
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
A nouveau un super post/article magnifiquement intéressant et bien écrit, cher Patibulaire...
Je suis fan!!!!
Je vois que ces Sieurs Smith et Wesson avaient une imagination toute aussi florissante que Monsieur Colt: Modèle 1 1/2...
Hahahahahahahahahahaha.
N'empêche, le Mod 1 en 22 court et 7 coups et en 1857... c'est fort!!!!!
Je suis sûr que beaucoup de 'gentes dames' devaient porter ce revolver (sans recul) sous leur jarretières!
TOP... très belles pièces que tu nous présentes !
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Je vois que ces Sieurs Smith et Wesson avaient une imagination toute aussi florissante que Monsieur Colt: Modèle 1 1/2...
Hahahahahahahahahahaha.
N'empêche, le Mod 1 en 22 court et 7 coups et en 1857... c'est fort!!!!!
Je suis sûr que beaucoup de 'gentes dames' devaient porter ce revolver (sans recul) sous leur jarretières!
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timmons- Quinte
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
timmons a écrit:c'est un peu comme si aujourd'hui on partait à la guerre avec un 6,35
Les récits de l'époque regorgent d'anecdotes, complaisamment amplifiées par S&W, au sujet du .32 old Army qui auraient sauvés la vie d'un nombre incalculable de personnes se retrouvant face à face avec un Colt à percussion... dont la poudre, mouillée par des journées copieusement arrosées, faisait long feu. "Entre une balle qui part et rien du tout, le choix est vite fait".
Il est curieux également de remarquer que personne à l'époque ne semble avoir exprimé bruyamment son mécontentement au sujet de l'efficacité d'un 12mm à broche, calibre capable de rebondir sur un blouson en cuir épais et pourtant particulièrement apprécié pendant la guerre civile américaine aux mains des officiers sudistes et longtemps encore après dans les colonies. Ni davantage plus tard d'ailleurs au sujet du 11m73 qui fait guère mieux.
nemessos- Carre
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Nemessos, ce que tu écris au sujet du succès des revolvers à broche auprès des officiers sudistes me surprend un peu en ce sens que j'ai lu l'inverse dans plusieurs ouvrages où il était dit que ces revolvers avaient été très peu appréciés et vité délaissés par leurs propriétaires en raison du manque de puissance de leur cartouche, de la fragilité de l'aiguille devant frapper l'amorce, et des risques d'explosion simultanée lorsque la cartouchière à l'intérieur de laquelle les munitions étaient en vrac subissait un gros choc.
Je précise cependant qu'il s'agit d'ouvrages américains, d'où peut-être l'expression d'un certain chauvinisme...
En tous cas, une chose est sure : il suffit de comparer une cartouche de 32 long avec une cartouche de 12 mm à broche pour voir que la première devait quand même être beaucoup plus "efficace".Il ne faut pas oublier que cette cartouche de 32 a survécu pendant une bonne partie de la première moitié du 20ème siécle, alors que la cartouche à broche avait disparu depuis longtemps.
Je précise cependant qu'il s'agit d'ouvrages américains, d'où peut-être l'expression d'un certain chauvinisme...
En tous cas, une chose est sure : il suffit de comparer une cartouche de 32 long avec une cartouche de 12 mm à broche pour voir que la première devait quand même être beaucoup plus "efficace".Il ne faut pas oublier que cette cartouche de 32 a survécu pendant une bonne partie de la première moitié du 20ème siécle, alors que la cartouche à broche avait disparu depuis longtemps.
Dernière édition par Patibulaire le Jeu 5 Mar 2020 - 9:26, édité 1 fois
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
le côté pratique des cartouches métalliques est incontestable, toutefois ces nouvelles munitions avaient une puissance dérisoires face aux cartouches papier de .44
c'est valable aussi pour les armes longues, Henry et Spencer dont la puissance était très inférieure à celle du .58 minié.
Sur les champs de bataille, le revolver ne joue qu'un rôle secondaire, on peut comprendre que certains aient pu privilégier la facilité de rechargement à la puissance d'arrêt, la plupart des armes de poing n'ayant pratiquement pas tiré une cartouche durant toute la guerre.
c'est valable aussi pour les armes longues, Henry et Spencer dont la puissance était très inférieure à celle du .58 minié.
Sur les champs de bataille, le revolver ne joue qu'un rôle secondaire, on peut comprendre que certains aient pu privilégier la facilité de rechargement à la puissance d'arrêt, la plupart des armes de poing n'ayant pratiquement pas tiré une cartouche durant toute la guerre.
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Ces petits S&W étaient très bien comme arme 'back up' à courte distance !
Je peux effectivement concevoir qu'ils aient sauvé la vie de plus d'un militaire sur le champs de bataille.
Je tiens à rappeler que la tendance moderne au niveau des armes de guerre est de rapetisser le calibre...
Le calibre de 7,62 qui est toujours le standard Otan passe de plus en plus vers le 5.56...
Plusieurs raisons pour cela:
° Au plus 'petites' les munitions au plus facile leur transport.
° Un ennemi touché avec une plus petite balle sera blessé et nécessitera l'intervention de minimum deux militaires de plus pour être aidé/évacué/soigné.
Je ne crois pas qu'a l'époque ces considérations intéressaient vraiment le staff militaire, mais beaucoup de fabricants d'armes de l'époque avaient l'air 'd'expérimenter' avec des modèles d'armes à petit calibre.
De plus je trouve ces petits revolvers souvent très beaux et raffinés dans leur design.
Je peux effectivement concevoir qu'ils aient sauvé la vie de plus d'un militaire sur le champs de bataille.
Je tiens à rappeler que la tendance moderne au niveau des armes de guerre est de rapetisser le calibre...
Le calibre de 7,62 qui est toujours le standard Otan passe de plus en plus vers le 5.56...
Plusieurs raisons pour cela:
° Au plus 'petites' les munitions au plus facile leur transport.
° Un ennemi touché avec une plus petite balle sera blessé et nécessitera l'intervention de minimum deux militaires de plus pour être aidé/évacué/soigné.
Je ne crois pas qu'a l'époque ces considérations intéressaient vraiment le staff militaire, mais beaucoup de fabricants d'armes de l'époque avaient l'air 'd'expérimenter' avec des modèles d'armes à petit calibre.
De plus je trouve ces petits revolvers souvent très beaux et raffinés dans leur design.
Invité- Invité
Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Ce qui explique principalement le fait que les premières armes à cartouche métallique étaient de petit calibre ou contenaient de faibles charges de poudre est le manque de résistance des matériaux utilisés pour la fabrication des étuis. Ces derniers gonflaient, se déchiraient lors de la mise à feu et il devenait très difficile de les extraire.
Voici pourquoi S&W s'est limité au 22 court pour sa première cartouche à percussion annulaire.
Voici pourquoi S&W s'est limité au 22 court pour sa première cartouche à percussion annulaire.
Dernière édition par Patibulaire le Jeu 5 Mar 2020 - 10:48, édité 1 fois
Patibulaire- Full
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Oui cher Patibulaire...
La 22 court annulaire , qui au jour d'aujourd'hui est toujours existante et chambrée dans des armes modernes.
Elle a bien survécu les tourments des années cette petite munition avec laquelle S&W 'expérimentait' à l'époque.
La 22 court annulaire , qui au jour d'aujourd'hui est toujours existante et chambrée dans des armes modernes.
Elle a bien survécu les tourments des années cette petite munition avec laquelle S&W 'expérimentait' à l'époque.
Invité- Invité
Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
les premières cartouches étaient en cuivre rouge très malléable et déformable
la .22 de l'époque chargée à poudre noire avait la puissance d'une bosquette actuelle
la .22 de l'époque chargée à poudre noire avait la puissance d'une bosquette actuelle
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Si on compare une cartouche de .32 S&W à percussion centrale, qui a été le calibre des armes de pas mal de services de police jusque dans les années 1930, à une cartouche de 32 long à percussion annulaire, cette dernière n'a pas l'air ridicule du tout. On voit cependant dans le second cas qu'on a affaire à un étui en cuivre rouge, comme l'a écrit Timmons.
Patibulaire- Full
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
https://www.youtube.com/watch?v=zCjsazHO0c0
pour le fun :
dans le film de Akira Kurosawa "yogimbo" le garde du corps, copié par Leone : pour une poignee de dollars, on voit un S&W numero 2
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dans le film de Akira Kurosawa "yogimbo" le garde du corps, copié par Leone : pour une poignee de dollars, on voit un S&W numero 2
timmons- Quinte
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
timmons a écrit:https://www.youtube.com/watch?v=zCjsazHO0c0
pour le fun :
dans le film de Akira Kurosawa "yogimbo" le garde du corps, copié par Leone : pour une poignee de dollars, on voit un S&W numero 2
Oui, et de plus, la crosse est apparemment en ivoire. Ce S&W n'a cependant rien de surprenant, car les Japonais aimaient cette marque et en ont importé beaucoup (d'où entre autres les 200 exemplaires de modèles 1 1/2 de transition envoyés là-bas sur les 650 exemplaires produits).
Patibulaire- Full
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Patibulaire a écrit:Je précise cependant qu'il s'agit d'ouvrages américains, d'où peut-être l'expression d'un certain chauvinisme...
Tu m'étonnes !
nemessos- Carre
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Très intéressant !!!
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Passez me voir sur YouTube !
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Re: Les premiers S&W et le manque d’imagination de la marque
Très intéressant ton article et de bien beaux revolvers
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