Camp des French Volunteers Election Day

- Federal Drill Camp - Estern theatre - West Virginia - 1864 - 2nd Vermont Volunteers Infantry.
- Campagne présidentielle de l’automne 1864.
 
Étaient présents :
* Une compagnie du second régiment des volontaires du Vermont.   
* Une femme    et un homme    commerçants ambulants qui ont dû quitter les lieux pour cause de lumbago maladie contagieuse (variole il me semble   ).

* Un odieux petit exploitant agricole/chasseur vivant dans une cabane en rondins.   
* Son employé, tenu en état de quasi servilité.   
* Un représentant du parti républicain    faisant campagne en faveur de Lincoln auprès des troupes et son garde du corps un peu trop zélé « not too close ».   
* Un déserteur bien vite passé par les armes.   
 
Les évènements :
* Drill (deux à trois fois par jour) de la compagnie du second régiment des volontaires du Vermont.
* Chasse, pêche et divers travaux de réparation de clôture par Le chasseur/fermier et son employé.
* Départ pour cause de maladie des deux commençants ambulants.
* Désertion d’un soldat du 2^nd volontaires du Vermont recueilli et caché dans les bois par le chasseur et son employé.
* Traque et capture du déserteur par ses anciens camarades, le chasseur en son employé furent également amenés au camp pour y être entendu a propos de leur complicité.
* Cours martiale et exécution du déserteur.
* Un caporal vend au marché noir des vivres de sa compagnie aux deux chasseurs/fermiers et tente de faire accuser son sergent de ses méfaits en cachant de l’argent dans son couchage. Le lieutenant ne fut pas dupe.
* Le lieutenant, un sergent et quelques hommes partent pour une perquisition de la cabane du chasseur. 
Celui-ci et son employé tirent sur la troupe fédérale en la voyant approcher et se barricadent dans la cabane, échange sérieux de coups de feu, trois fédéraux sont tuer, les occupants de la cabane se font abattre en tentant une sortie. 
Bilan : 5 morts pour un sac de pommes   .

* Visite d’un sénateur et campagne électorale en faveur de Lincoln auprès des troupes.
* Visite du lieutenant et discussion quasi philosophique    chez les nouveaux propriétaires de la cabane.
* 8 novembre 1864, élection présidentielle.



































































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Sympa ce reportage avec mélange de photos et bravo aux reconstituants !

WaW c'est du très haut niveau ! Je reconnais quelques têtes, ça fait plaisir !

Bonjour,
Merci pour les superbes photos, par contre vous pouvez mettre de corvée de garde le jeune soldat qui présente son sabre.
Il s'est rasé avec une biscotte !

J'aurais bien vu un petit détachement de cavalerie confédérée pour venir saluer ces unionistes...

La prochaine fois ?

trés jolis c'est photos,trés beau reportage

j aime bien les photos en noir et blanc ça donne un coté vieillot ….on s attend a voir entrer rip masters ,sergent O'hara ou rusty et bien sur Rintintin un kill pour ce reportage

ouu rusty et rintintin,le feuilleton de jeudi après midi avec zoro,mon enfance

Bravo pour cette reconstitution ! ! ! Kif KIf notre club le " LIttle River " ! ! ! !

KILL , car cela fait plaisir ! ! ! ! !

super !!!!

Le " soldat ' rasé avec une biscotte " est déjà officier , si j'en juge par les " attentes " de ses épaulettes , et le fait qu'il porte le sabre de cavalry modèle 1840 ou 1860 à la garde plus large que le modèle 1840 dit " prise - poignet "  ,  et au moins lieutenant . . . . .IL ne porte pas de passepoil jonquille sur son pantalon ; ces attributs étant réservés au caporaux ( 1 pouces de large ) et sergents ( 2,5 pouces de large ) et dont les grades sont " affichés " sur les manches , sous forme de " vé " de 20 cm de large : 2 pour les caporaux , et 3 pour les sergents , 3 liés en haut pour les sergents major . . . Le ceinturon " Sam Brown " avait reçu un beaudrier transversal  passant sur l'épaule droite pour supporter le sabre a gauche du ceinturon .
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    Les bottes pouvaient être de plusieurs modèles , jusqu'aux cuissardes de cuir montant jusqu'à mi cuisse . . . .

    A partir de 1872 , le sabre fut porté sur la selle , elle même . . . .