Bitter Tears
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Bitter Tears
En 1964, Johnny Cash, alors au 36ème dessous, sa carrière derrière lui, et englué dans son addiction à la drogue, réussit à convaincre Columbia, sa maison de disques,d'éditer un album conceptuel, totalement à l'inverse des courants de pensée majoritaires à l'époque : "Bitter Tears : ballads of the American Indians" (larmes amères : ballades des Indiens d'Amérique). Les 8 chansons figurant sur cet album ne sont pas des traditionnels, mais ont été écrites spécialement par Cash lui-même et Peter La Farge.
En 1964, il y a 50 ans, un bon Indien était encore un Indien mort. Cet album a aidé à lancer la révision de cette image et à ouvert la voie à d'autres ouvrages littéraires et cinématographiques qui ont contribué à réhabiliter l'image de l'Indien.
Si vous ne le connaissez pas encore :
En 1964, il y a 50 ans, un bon Indien était encore un Indien mort. Cet album a aidé à lancer la révision de cette image et à ouvert la voie à d'autres ouvrages littéraires et cinématographiques qui ont contribué à réhabiliter l'image de l'Indien.
Si vous ne le connaissez pas encore :
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«La démocratie, ce n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité» Albert Camus
Re: Bitter Tears
C' est pas mal çà, mais faut dire que je suis un peu partial.
La voix de Johnny Cash et la musique qui va bien, pliez, c' est emballé.
La voix de Johnny Cash et la musique qui va bien, pliez, c' est emballé.
Invité- Invité
Re: Bitter Tears
bien Ringo j aime bien
gilles- Full
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Re: Bitter Tears
Si vous aimez bien Bitter Tears, vous devriez apprécier aussi JC sings the ballads of the true West :
Publié l'année suivante (1965), toujours chez Columbia, ce double album, qui vaut bien mieux que sa photo de couverture ne pourrait le laisser penser, a été réédité dès 1966 sous la forme d'un album simple intitulé "mean as hell" et ne comprenant que 12 des 20 chansons figurant sur l'original.
Dans la même veine musicale que Bitter Tears, il s'en éloigne cependant très fortement par le thème. Cette fois, Johnny Cash explore l'histoire de l'Ouest américain, avec une seule chanson (Hiawatha's vision) du point de vue de l'Indien. Les autres, traditionnelles ou originales, racontent la vie quotidienne ou des anecdotes historiques.
Publié l'année suivante (1965), toujours chez Columbia, ce double album, qui vaut bien mieux que sa photo de couverture ne pourrait le laisser penser, a été réédité dès 1966 sous la forme d'un album simple intitulé "mean as hell" et ne comprenant que 12 des 20 chansons figurant sur l'original.
Dans la même veine musicale que Bitter Tears, il s'en éloigne cependant très fortement par le thème. Cette fois, Johnny Cash explore l'histoire de l'Ouest américain, avec une seule chanson (Hiawatha's vision) du point de vue de l'Indien. Les autres, traditionnelles ou originales, racontent la vie quotidienne ou des anecdotes historiques.
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«La démocratie, ce n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité» Albert Camus
Re: Bitter Tears
Bonsoir Ringo,
Histoire de paraphraser M.A: "Je ne crique pas le côté nostalgie mais pour le reste il y aurait tout de même un petit arrière goût soap and soup"....
Faut pas m'en vouloir chez moi c'est plutôt CA, alors à force.....
D.M.
Histoire de paraphraser M.A: "Je ne crique pas le côté nostalgie mais pour le reste il y aurait tout de même un petit arrière goût soap and soup"....
Faut pas m'en vouloir chez moi c'est plutôt CA, alors à force.....
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Avis d'un béotien n'ayant aucune expérience et n'en aura jamais dans quelque domaine que ce soit et surtout pas celui des armes...
Col. Mortimer- Couleur
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Re: Bitter Tears
La différence, cher Colonel, c'est le rapport direct entre le sujet des disques et celui du forum.
Je ne présente pas ces disques pour leur style de musique, mais pour les sujets qu'ils traitent : l'un l'impact de la colonisation sur les premiers habitants du territoire, l'autre le mode de vie et les évènements qui ont marqué l'époque.
Après, je comprends fort bien que le style et l'interprétation puissent ne pas plaire à tous.
Je ne présente pas ces disques pour leur style de musique, mais pour les sujets qu'ils traitent : l'un l'impact de la colonisation sur les premiers habitants du territoire, l'autre le mode de vie et les évènements qui ont marqué l'époque.
Après, je comprends fort bien que le style et l'interprétation puissent ne pas plaire à tous.
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Re: Bitter Tears
Bah, Ringo, tu sais bien que je sais que tu sais pourquoi j'ai dit ça....
D.M.
D.M.
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Re: Bitter Tears
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