Restauration d'un Roger & Spencer
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Restauration d'un Roger & Spencer
par Chewie Mer 7 Oct 2009 - 12:07
Rogers & Spencer (Euroarms of America)
- Version match avec canon Neumann, année 2000 -
Débronzage : (bain de vinaigre blanc)
Le marquage caractéristique sur le canon « match » : un N ceint de triangles, logo de la société allemande Neumann réputée pour ses cannoneries, désormais une filiale de Pedersoli.
Mise en conformité du guidon avec le règlement fédéral :
Restauration du barillet
Pour effectuer ce travail, nous allons utiliser une mini-perceuse, équipée des outils suivants :
Bronzage à la couche
Pour bronzer l'arme, nul besoin d'une débauche de produits onéreux :
Au bout de quelques heures, l'action du produit semble se stabiliser mais on attend tout de même les 12 heures préconisées par la notice :
Un bronzage épais qui semble particulièrement solide, que je trouve très adapté aux armes anciennes avec sa teinte chocolat et sa granularité très old school. Evidemment, ce bronzage n'est pas recommandé pour les aficionados de finitions très techniques, qui aiment les états de surface parfaits des finitions polies, nickelées ou chromées par exemple.
On voit bien le grain du bronzage sur la carcasse :
Le barillet a retrouvé un peu de prestance :
Une vision de la carcasse avec la procédure de remontage.
L'arme est désormais remise à neuf avec son nouveau bronzage et sa mécanique refaite. Le fonctionnement est très ferme, avec des clics bien sonores et un entrefer inférieur à 5/100e.
- Version match avec canon Neumann, année 2000 -
Malgré son âge peu élevé et sa qualité intrinsèque, nous avons vu dans le topic « Dissection d'un Rogers & Spencer » que cette arme est déjà bien fatiguée suite à « une négligence d'entretien caractérisée » (pour rester poli).
Moralité : aucune mécanique n'est inusable, et celles de qualité s'entretiennent donc d'autant plus soigneusement...
Disposant d'un peu de temps avant d'emmener l'arme au stand pour la saison 2009/2010 (ô, joies de la mutation de licence et de changement de club), nous allons en profiter pour redonner un bon coup de fraîcheur au revolver :
Moralité : aucune mécanique n'est inusable, et celles de qualité s'entretiennent donc d'autant plus soigneusement...
Disposant d'un peu de temps avant d'emmener l'arme au stand pour la saison 2009/2010 (ô, joies de la mutation de licence et de changement de club), nous allons en profiter pour redonner un bon coup de fraîcheur au revolver :
- reprise du barillet à la fraise pour éliminer les vilains cratères d'impact,
- remplacement de la mécanique interne,
- nouveau bronzage.
Débronzage : (bain de vinaigre blanc)
Les plus assidus auront remarqué l'absence du chien et de la queue de détente : nous avons décidé des les garder dans leur bronzage noir mat pour "aller" avec la visserie et les cheminées neuves (oui, c'est mon petit côté Jean-Paul Gauthier).
Le marquage caractéristique sur le canon « match » : un N ceint de triangles, logo de la société allemande Neumann réputée pour ses cannoneries, désormais une filiale de Pedersoli.
Mise en conformité du guidon avec le règlement fédéral :
On travaille doucement avec une lime plate de modélisme pour « araser » les deux éxtrémités de la base du guidon (les tenons). Il faut travailler en restant bien parallèle à chaque face du canon et en faisant attention de ne pas faire d'encoche sur le guidon.
Restauration du barillet
Pour effectuer ce travail, nous allons utiliser une mini-perceuse, équipée des outils suivants :
La fraise (1) nous sert à tailler les copeaux de métal qui bordent les impacts et à niveler la surface autour de ceux-ci. La fraise (2) sert à égaliser la zone reprise en (1) avec le reste de la pièce et le feutre abrasif (3) effectue un polissage primaire de toute la zone retravaillée.
Après une toute petite heure de travail, le barillet est terminé :La flèche supérieure montre la localisation initiale du double impact le plus important visible sur la photo précédente, les deux autres montrent comment nous avons ravivé les arêtes des puits de cheminées et les arêtes des évidements pour éliminer dentures et autres irrégularités (avec la fraise 1 et à la lime).
On en profite pour vérifier toutes les encoches et supprimer les copeaux de métal qui pourraient gêner le fonctionnement de la came de l'arrêtoir du barillet. On ajuste la pièce neuve issue du kit de remplacement pour qu'elle s'insère parfaitement dans chaque encoche.
On en profite pour vérifier toutes les encoches et supprimer les copeaux de métal qui pourraient gêner le fonctionnement de la came de l'arrêtoir du barillet. On ajuste la pièce neuve issue du kit de remplacement pour qu'elle s'insère parfaitement dans chaque encoche.
- Attention : pour éviter la fameuse rayure circulaire sur le bronzage du barillet, certains tireurs n'hésitent pas à limer et polir outre-mesure la came de verrouillage (comme ça avait été fait sur cette arme). Non seulement on use ainsi artificiellement cette pièce, mais on « joue » aussi avec le verrouillage de l'arme. Un jeu dangereux puisque cette fonction est un point critique sur un revolver. Si ça peut éventuellement se pratiquer sur une arme de vitrine pour garder un bronzage rutilant malgré quelques manipulations de démonstration, il faut faire attention si on destine l'arme à un usage régulier au stand : mieux vaut-il avoir une trace d'usure tout-à-fait normale sur le bronzage du barillet ou un verrouillage défectueux après seulement quelques centaines de coups tirés ?
Un des chanfreins de chambre était abîmé et présentait un accroc légèrement saillant dans l'espace de la chambre. Même si c'est sans danger pour un tir loisir, cela aurait rayé chaque balle lors de son introduction et lors de son expulsion, créant ainsi une perturbation qui aurait différencié d'emblée cette chambre par rapport aux autres, ce qui n'est évidemment pas souhaitable dans une optique « compétition ». On retaille donc le chanfrein abîmé à la fraise pour obtenir une surface propre et homogène.
On termine par un nettoyage/polissage à la brosse métallique pour un rendu plus net des différentes zones travaillées. Inutile dans ce cas précis de chercher à obtenir un état de surface strictement identique aux zones non travaillées : les petites différences seront gommées par l'action d'oxydation du bronzage choisi qui présente un aspect final granuleux.
Bronzage à la couche
Pour bronzer l'arme, nul besoin d'une débauche de produits onéreux :
- bronzage marron/rouge de chez Cartry Armes, avec sa notice (15 euros les deux flacons et on voit que le bronzage du 320 Bulldog n'a guère entamé ceux-ci),
- un morceau d'éponge pour appliquer les solutions,
- un morceau de spontex ou de laine d'acier extra-fine pour carder l'oxydation,
- quelques cotons-tiges pour appliquer dans les zones difficiles d'accès,
- un peu d'acétone (ou autre dégraissant).
C'est un bronzage dont le coût est à la portée de toutes les bourses, dont le mode opératoire est extrêmement simple, mais qui en contrepartie demande et de la patience pour voir le résultat final, et de nombreuses heures de travail (une heure le matin et une heure le soir, tous les jours pendant 10 jours).
Le principe est simple : il faut appliquer un minimum de 8 couches de la première solution, puis 8 couches minimum de la seconde, et finaliser par un bain d'une nuit dans une solution de lessive pour neutraliser l'action des produits bronzants. Avant d'appliquer une nouvelle couche, il faut bien sûr soigneusement carder et dégraisser chaque pièce. La notice recommande de laisser chaque couche agir pendant douze heures.
Le principe est simple : il faut appliquer un minimum de 8 couches de la première solution, puis 8 couches minimum de la seconde, et finaliser par un bain d'une nuit dans une solution de lessive pour neutraliser l'action des produits bronzants. Avant d'appliquer une nouvelle couche, il faut bien sûr soigneusement carder et dégraisser chaque pièce. La notice recommande de laisser chaque couche agir pendant douze heures.
Avant la première application, il faut bien nettoyer et soigneusement dégraisser les pièces, faute de quoi l'action du produit ne sera pas homogène et on verra des tâches ou des auréoles apparaître, voire des zones entièrement non oxydées. On protège bien sûr les filetages du barillet dans les puits de cheminées et on bouche le canon aux deux extrémités (ici avec de la Patafix).
Pour l'application, on imbibe l'éponge de produit bronzant (sans qu'elle ne regorge) et on passe sur toutes les surfaces voulues en vérifiant bien en jouant avec la lumière qu'aucune zone n'a été oubliée. Pour la première application, je repasse une seconde couche une heure plus tard et une troisième encore une heure après.
Après quelques minutes, l'oxydation est déjà visible :Pour l'application, on imbibe l'éponge de produit bronzant (sans qu'elle ne regorge) et on passe sur toutes les surfaces voulues en vérifiant bien en jouant avec la lumière qu'aucune zone n'a été oubliée. Pour la première application, je repasse une seconde couche une heure plus tard et une troisième encore une heure après.
Au bout de quelques heures, l'action du produit semble se stabiliser mais on attend tout de même les 12 heures préconisées par la notice :
Il faut alors « carder » : gratter pour éliminer la rouille superficielle qui s'est formée (et qui dépend de la nature de l'acier employé : on voit que le barillet est plus oxydé que la carcasse, elle-même plus oxydée que le canon).
Le cardage doit se faire de façon vive, mais souple. Il ne s'agit pas de remettre forcément le métal à nu, mais de bien débarrasser le métal de la couche superficielle de rouille en alternant les mouvements rectilignes et rotatifs.
On dégraisse ensuite la pièce et on peut appliquer une nouvelle couche de produit bronzant. La notice préconise de recommencer au moins 7 fois, certains vont jusqu'à 10 ou 12 passages, en ce qui concerne cette arme, j'ai obtenu après six couches la profondeur et la teinte souhaitée.
L'action du second produit a beaucoup moins d'effets visibles sur l'apparence : l'oxydation est moins prononcée, le cardage moins long et je me suis arrêté à 6 couches vu qu'il ne se passait visiblement plus grand-chose après la
cinquième.
Après une grosse semaine, on voit enfin « le bout du tunnel »... Un dernier bain d'une nuit dans de l'eau additionnée de lessive pour neutraliser l'action des produits bronzants et les pièces sont terminées.On dégraisse ensuite la pièce et on peut appliquer une nouvelle couche de produit bronzant. La notice préconise de recommencer au moins 7 fois, certains vont jusqu'à 10 ou 12 passages, en ce qui concerne cette arme, j'ai obtenu après six couches la profondeur et la teinte souhaitée.
L'action du second produit a beaucoup moins d'effets visibles sur l'apparence : l'oxydation est moins prononcée, le cardage moins long et je me suis arrêté à 6 couches vu qu'il ne se passait visiblement plus grand-chose après la
cinquième.
Même si ce n'est pas inscrit dans la notice, je termine par une ébullition de quelques minutes des pièces car c'est recommandé par Dunlap dans son « Gunsmithing» pour le procédé traditionnel de browning, auquel nous avons affaire ici.
Une fois refroidies, on graisse soigneusement chaque pièce avec une vieille brosse à dents pour bien faire pénétrer la graisse dans le grain du bronzage.
Une fois refroidies, on graisse soigneusement chaque pièce avec une vieille brosse à dents pour bien faire pénétrer la graisse dans le grain du bronzage.
Un bronzage épais qui semble particulièrement solide, que je trouve très adapté aux armes anciennes avec sa teinte chocolat et sa granularité très old school. Evidemment, ce bronzage n'est pas recommandé pour les aficionados de finitions très techniques, qui aiment les états de surface parfaits des finitions polies, nickelées ou chromées par exemple.
On voit bien le grain du bronzage sur la carcasse :
Le barillet a retrouvé un peu de prestance :
Il est temps de remonter l'arme. Vu l'épaisseur du bronzage, il est nécessaire de retravailler au papier de verre de finition l'alésage central du barillet ainsi que celui du levier central sur la carcasse. Rien de bien méchant, le seul point un peu ennuyeux du remontage provient de la conception de la carcasse en deux parties : il faut d'abord remonter la mécanique interne et le chien, puis la vis externe de la carcasse (la plus proche du chien), faire pression sur le ressort principal pour le passer sous le galet du chien tout en faisant pivoter la carcasse inférieure en place, mettre en place la vis du ressort bi-lame - sans que celui-ci ne bouge - avant de terminer par la vis interne de la carcasse. Il n'est pas superflu de « coller » le ressort bi-lame avec de la graisse et il vaut mieux rester calme et s'y reprendre à plusieurs fois plutôt que de rayer le bronzage tout neuf ! (Attention aussi de ne pas se pincer un doigt avec le ressort principal en cas de tentative infructueuse).
Une vision de la carcasse avec la procédure de remontage.
L'arme est désormais remise à neuf avec son nouveau bronzage et sa mécanique refaite. Le fonctionnement est très ferme, avec des clics bien sonores et un entrefer inférieur à 5/100e.
Dernière édition par Chewie le Ven 30 Déc 2016 - 16:05, édité 1 fois
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Bloob Mer 7 Oct 2009 - 13:06
Encore une très bonne restauration de maitre chewie, bravo !
J'émettrai une petite réserve quant au bronzage épais qui atténue trop les arêtes, à mon goût, sur ce type d'arme. Je me serais contenté de refaire que le barillet, voir seulement le polir et garder le reste de l'arme en l'état, mais c'est une affaire de goût..
Sinon, vraiment, beau boulot, en particulier sur le barillet !
Tu n'as pas fait le réglage de ton guidon avant de limer les tenons ?
J'émettrai une petite réserve quant au bronzage épais qui atténue trop les arêtes, à mon goût, sur ce type d'arme. Je me serais contenté de refaire que le barillet, voir seulement le polir et garder le reste de l'arme en l'état, mais c'est une affaire de goût..
Sinon, vraiment, beau boulot, en particulier sur le barillet !
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Little Yo Mer 7 Oct 2009 - 13:19
Chapeau l'artiste ! 
Très didactique, comme toujours !
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Chewie Mer 7 Oct 2009 - 14:34
Bloob a écrit: J'émettrai une petite réserve quant au bronzage épais qui atténue trop les arêtes, à mon goût, sur ce type d'arme (...)
J'ai tenu à bien préciser dans le tuto que ce bronzage est assez rustique, sans doute une des toutes premières formes de bronzage pratiqué en armurerie avec le bleuissage à la flamme (la première solution n'est rien d'autre qu'une solution salée et la seconde du phosphate de cuivre). Le résultat est assez brut et très résistant, je le trouve approprié pour une arme du dix-neuvième siècle destinée à affronter les marécages, les plaines ou les déserts du vieil Ouest sauvage. On peut laisser l'arme se trimballer dans la diligence ou le chariot de pionnier sans trop craindre pour elle. Il est entendu que ce serait pour le moins incongru sur une arme de grand prestige ou une arme très technique à visée laser, etc.
Bloob a écrit:Tu n'as pas fait le réglage de ton guidon avant de limer les tenons ?
Non, pas le temps ! Il aurait fallu attendre la semaine prochaine pour emmener l'arme à plusieurs reprises au stand, puis ensuite interrompre l'entraînement pour faire le bronzage...
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Invité Jeu 8 Oct 2009 - 18:40
Chapeau pour le post Chewie,
Beau boulot, bonne mise en page et bonnes photos, du grand art.
+ une image pour ti.
Beau boulot, bonne mise en page et bonnes photos, du grand art.
+ une image pour ti.
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par donald duck Jeu 19 Sep 2013 - 21:56
Bonjour,
je ne parviens à visionner les photographies, comment faire, poutrant je suis connecté.
Merci à vous.
je ne parviens à visionner les photographies, comment faire, poutrant je suis connecté.
Merci à vous.
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Bloob Ven 20 Sep 2013 - 0:35
Plus personne ne les voit, elles ont "sauté"
Le sujet date de 2009...
Et chewie hébergeait ses images sur un serveur Roumain
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par donald duck Ven 20 Sep 2013 - 8:18
Je comprends mieux, c'est bien dommage .
Merci.
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donald duck- Brelan
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par eole87 Ven 20 Sep 2013 - 9:50
bien dommage en effet car l'auteur savait de quoi il parlait.
Personne n'aurait copié cet article par hasard ?
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par donald duck Ven 20 Sep 2013 - 10:18
Je serais intéressé aussi pour le récupérer et m'en inspirer. Cela me permettrait comme d'autres membres du forum de posséder de bonnes bases de départ pour travailler correctement.
donald duck- Brelan
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Bloob Ven 20 Sep 2013 - 16:42
L'auteur, Chewie, à mon grand regret, n'est plus venu ici depuis le printemps de cette année.
Il fait pourtant partie du "conseil d'administration "...
En espérant que tout aille bien pour lui et qu'il entende ta demande !
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Chewie Ven 30 Déc 2016 - 16:06
Demande entendue !
Patience est mère de toutes les vertus.
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Ringo Ven 30 Déc 2016 - 17:37
Bon, cette fois, c'est dit, je vais me lancer moi aussi (un jour ou l'autre) ! Avec un tuto de cette qualité, je n'ai plus d'excuse. Ça ne sera pas un R&S, parce que je n'en ai pas, mais j'ai au moins une réplique en vue à qui ça fera du bien de subir une cure de jouvence.
Entre la méthode de bronzage et les conseils sur le poncé huilé du tuto sur le Centaure, j'ai du pain sur la planche.
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par gilles Dim 1 Jan 2017 - 18:21
bravo, super travail une image pour cela 
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par donald duck Dim 1 Jan 2017 - 19:42
Ce documentaire est à garder précieusement.
Du bien bel ouvrage. Je suis content de voir ce Rogers and Spencer en super forme.
Un de plus de sauvé, cela fait plaisir.
Du bien bel ouvrage. Je suis content de voir ce Rogers and Spencer en super forme.
Un de plus de sauvé, cela fait plaisir.
donald duck- Brelan
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par stuart link Dim 1 Jan 2017 - 19:55
je viens d en aquerir un qui mériterait une restauration mais je ne m en sent pas capable ...a force de regarder ces tutos qui sait peut etre un jour je me lancerai !!!!!!!!!ou je le ferai faire!!!!!
stuart link- R.I.P.
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Longue Carabine Lun 2 Jan 2017 - 11:46
Excellent travail de " pro " ! ! ! ! !Le Roger and Spencer" le vaut bien " étant la " Roll " des revolvers à poudre noire ! ! ! ! 
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par stuart link Lun 2 Jan 2017 - 11:54
dans ton tuto tu parle de remplacement de la mecanique interne ..;connais tu une adresse pour trouver les elements internes ou as tu un plan quelconque ...merçi chewie...je sais que le tuto est ancien mais on ne sait jamais
stuart link- R.I.P.
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par Chewie Lun 2 Jan 2017 - 18:43
Salut Stuart Link.
Tu peux commander ça dans la verte Albion :
https://www.peterdyson.co.uk/acatalog/PARTS_FOR_ROGERS_AND_SPENCER_revolvers.html
http://www.henrykrank.com/index.php?main_page=index&cPath=208_211_214
Ou bien outre-atlantique :
http://www.ssfirearms.com/products.asp?cat=147&pg=2
A voir lequel est le plus intéressant en terme de FDP ?
Tu peux commander ça dans la verte Albion :
https://www.peterdyson.co.uk/acatalog/PARTS_FOR_ROGERS_AND_SPENCER_revolvers.html
http://www.henrykrank.com/index.php?main_page=index&cPath=208_211_214
Ou bien outre-atlantique :
http://www.ssfirearms.com/products.asp?cat=147&pg=2
A voir lequel est le plus intéressant en terme de FDP ?
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Re: Restauration d'un Roger & Spencer
par stuart link Lun 2 Jan 2017 - 20:33
merçi chewie je note ....meilleurs vœux pour 2017
stuart link- R.I.P.
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